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L'univers selon Eucharilxtonw

   - L'univers selon Eucharilxtonw -

    Théorie du

"Continuous BANG" -

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                 Je vous expose sur cette page les différents aspects de ma théorie d'univers. Théorie spéculative personnelle - Il s'agit d'une construction intellectuelle, d'une hypothèse philosophique citoyenne contradictoire à la pensée officielle, un scénario pouvant éventuellement faire évoluer ou orienter la recherche scientifique -

Les critiques seront très sévères : Pourquoi s'évertuer à créer une théorie d'univers alors que des gens très intelligents, dont c'est le métier SVP, s'occupent tous les jours d'imaginer des hypothèses, solidement étayées ou plus ou moins farfelues ??

Justement ! Les apparatchiks sont dépassés. ... Nous savons tous une chose : Les théoriciens et spécialistes sont emmurés dans les carcans théoriques de leur apprentissage initiale au sein des institutions universitaires. Ils ne peuvent plus créer car cela leur est interdit. Ces prisons théoriques des écoles qui les font "naître" sont pour eux les limites de la possibilité. Ils ne voient plus au dehors. Les grandes avancées, les révolutions conceptuelles n'ont jamais été le fruit de créateurs provenant des chemins classiques. D'ailleurs, les scientifiques et mathématiciens attitrés savent très bien que la science ne peut plus avancer en résultat de ce qui est aujourd'hui à disposition des dogmes classiques. Il revient aux philosophes, aux citoyens géniaux ou lambdas d'imaginer la sortie d'impasse. Cette assertion vaut pour ainsi dire malheureusement dans tous les domaines, ... y compris en politique. Voilà donc l'intérêt, même minime d'un tel travail.

Ne soyons pas passif ! Je propose donc ma théorie ... issue de plusieurs années de recherche. Rien ne dit qu'elle est mieux ou plus vraie que les autres - L'histoire jugera ( LOL - cela fait cool en fin de paragraphe ) .

................     Tel est le postulat de départ de tout mon travail - Tous attendent un miracle des dieux ou d'un prophéte magicien pour "croire" alors que je vois partout ledit miracle et à chaque instants au sein de la matière vivante dont nous sommes la rareté sur terre et surtout, semble -t-il, dans cet univers infini composé d'inerte ou principalement d'énergie. 

................       La vie est en elle même ce miracle . Son omniprésence nous aveugle au point d'oublier, parfois de nier ce que nous avons en permanence sous les yeux. La magie de cet univers rédide entiérement dans le phénomène du vivant. D.ieu ne parle certes pas le langage esthétique ni au travers des conventions morales que nous nous sommes fixées, ... mille fois déformées par usure du temps. Les textes sacrés, La réligion elle même n'est qu'un balbutiement parmi les nombreux chemins de la spiritualité. "Nous", matière animée construite à partir d'eau et de carbone sommes LE "miracle" tant attendu !

Pourquoi le chercher ailleurs ? ...........................................     

N'est -ce pas là suffisant au regard du soin dont le texte biblique nous demande de faire observation à l'égard du vivant ... « Tu aimeras l'Éternel, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta force. ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Luc 10:27; Deutéronome 6:4,5; Lévitique 19:18) ?: Seul importe le phénomène et la marche du vivant, dont nous avons la charge de magnifier le destin, et toute altération à son principe, à son existence, porte atteinte au déroulement du scénario initial prévu - Voilà la seule interprétation possible commune de l'ensemble des messages prophétiques décrit dans les différentes religions monothéistes -

"LE" vrai et seul message se suffisant à lui même.

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................................... Les observateurs du ciel ainsi que les croyants de tout acabit se questionnent de savoir depuis toujours si nous sommes seuls tandis que j'ai l'intime et profonde conviction que cette forme atypique de matière, dite vivante, est un processus "physique" universel ayant cours absolument partout .Pardon : Presque partout ! En tous les points d'une portion sphérique donné du cosmos. Ce phénomène ayant cours en permanence dans une strate entière de l'univers à une distance donnée, par rapport à un point d'émergence unique de la matière, source inaccessible à l'observation et situé au centre théorique de l'univers. 

Point d'origine de notre univers dont il reste pour nous à définir la position, la direction par rapport au déplacement de notre astre du jour ainsi que l'ensemble galactique ( Amas de galaxie ). ... et... dont le centre doit correspondre, dans ma conception ( je vous l'accorde hypothétique ) à une zone d'où jaillit en permanence la matière . Il suffirait peut-être pour cela d'observer le sens de circulation des éléments les plus "légers" ( particules les plus élémentaires ) ... dont nous n'avons pas encore une connaissance complète. La position de notre strate matérielle, permettant l'éclosion du vivant, dans le milieu matériel direct composé d' amas  galactiques se situe probablement dans le dernier tiers ou quart extérieur de l'épaisseur totale de la sphére représentant l'univers ( pris dans sa totalité ). Cette conception du réel et d'éclosion de la matière est certes difficile à imaginer mais son modèle peut être comparé, sur une échelle totalement différente et sans commune mesure, à ces jets de  rayons gamma mesurant plusieurs centaines d'Années- Lumière situés aux pôles de chaque Trou noir fixant le centre des galaxies. Il faut donc en imaginer un parallèle, mais à une toute autre échelle ainsi que sur un phénomène moins localisé car on ne parle plus de jets mais bien d'un phénomène généralisé et multidirectionnel de circulation de matière ( cf croquis ci dessous ).

 

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................................ Le trou noir est alors comparable à une sorte de miniature de ce que produit comme phénomène l'univers sur une échelle supérieure dans sa totalité, certes selon un mécanisme différent dans son contenu mais analogue d'un point de vue du modèle circulatoire des composants. Cette théorie permet par ailleurs de considérer notre univers de manière fractale, et les trous noirs seraient ainsi en quelque sorte une réplique miniature de ce qui se passe à l'échelle de l'univers dans sa totalité : Une masse imposante, fixant le point d'émergence de la matière, détermine le centre gravitationnel d'un ensemble cosmologique : Ce point théorique définit le centre de l'univers. Celui-ci absorbe en retour uniquement certaines particules, corps infinitésimaux*, issu de la décomposition atomique, les transforme en nouvel élément ( qui est celui d'origine de la matière ) puis les éjecte de son enveloppe dans un sens inverse pour ré-alimenter un processus "infini".

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................................... Certains parlent de "Big-bang" alors que cet événement, que l'on pourrait qualifier de cycle  "perpétuel" ( théorie du continuous bang )  est  un système qui ne posssède selon moi ni début ni d'autre fin que celle rendue possible par notre potentielle intervention historique. Scénario dont je décris l'hypotétique scénario dans mes ''Prophécits''. ( cf rubrique des 7 prophecits )

Telle serait alors notre mission qui consiste à contrarier le destin destructeur cyclique d'un univers en quête d'expansion vers un destin encore supérieur. L'éternel lui même aurait des pouvoirs limités par les contraintes de la matière constitutive de sa réalité. Destin matériel en devenir nécessitant notre intercession providentielle pour sa montée en puissance. Il n'y aurait alors pas de début, pseudo big bang, ni de fin ( big crunch) de l'univers mais un cycle perpétuel, permanent de la matière dont l'état, niveau d'énergie et échelles déterminent des lieux ainsi qu'un sens de circulation déterminé. Cette position permettant de définir un rôle, les actions à mener ainsi qu'une place dans le scénario perpétuel. Pourquoi ne pas réfléchir à une alternative à la fameuse théorie circulant dans les milieux "bien-pensant". La théorie du big bang ne fait pas l'unanimité, bien au contraire, sachez le ! J'en veux pour preuve ce seul argument pesant selon lequel la force de gravité, infini à l'instant zero, aurait dù s'opposer ou équilibrer la création d'un univers venu d'un point unique à partir de rien et duquel émerge soudainement une masse "infinie".

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.....................................   Selon les savants, la masse de matière sombre équilibre l'ensemble de la distribution des composantes de l'univers mais, quelle que soit la conception, se pose alors la question de l'origine avant ledit big-bang. On la fera remonter à la création de l'univers mais la logique peine à concevoir la présence de ces niveaux d'énergie aux frontières de notre dimension. Revenons à ma conception qui, justement, propose un compensation systèmique interne des forces puisque la matière ne ferait alors qu'un trajet équilibré cyclique et permanent de la source vers une périphérie sachant qu'autant de matière sort du processus ..... qu'il en rentre sous la forme la plus evanescente aux confins de l'univers, tandis que les zones d'énergie sont respectées par les frontières matérialisant les différentes sphères. Mais se pose encore la même question de l'origine d'un ensemble qui n'a ni début ni fin ? Cette conception nous échappera définitivement en raison des échelles à mettre en oeuvre. Peut être la question est-elle mal posée en terme d'origine puisque cet ensemble serait issu d'une transformation échappant à notre entendement et au sein de laquelle le temps perd son sens comme je l'explique plus loin. D'autant plus si l'on considère le tout dans une théorie fractale où l'univers, dans sa totalité, n'est qu'une composante d'un ensemble dont l'existence nous échappe définitivement. Notre langage commet des abus car toutes les combinaisons y sont possibles : Ce qui est un avantage créatif pour l'esprit devient alors parfois un inconvénient sémantique.

Revenons au sujet : Ce scénario d'univers cyclique permanent se déroulerait hypothétiquement encore à ce jour dans un volume en forme de sphère dont le centre représente la source, ou point de jaillissement de la matière, hors d'observation puisque situé en dehors de notre strate d'univers, dont l'observation immédiate et les calculs justifient le concept fondateur de l'ancienne théorie du "big bang". Nous devons apprendre à détecter ces fameuses particules infinnitésimales, hyper-véloces et venant de plus ''loin''.

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................................... Au extrême, en périphérie de cette sphère matérialisant l'univers dans son ensemble et mesurant beaucoup plus de 14 milliards d'A-L, la matière se désagrège, finirait en fin de cycle ... en "décomposition", dans son état le plus simple et le plus "fin", dans une pluie infine de particule* composant la majorité des composants de notre voute céleste (.... 94% environ de notre feuillet ). Cette proportion ne devant être considérée  uniquement pour évaluer le volume intérieur ou extérieur manquant de l'univers en dehors de la strate contenant notre amas galactique ..

.............................      L'univers serait donc en résultat composé de plusieurs feuillets sphériques se superposant les uns sur les autres en partant de ce noyau ou point d'émergence permanent (...invisible puisque intégrant des niveaux d'énergie différent du notre ), intégre différents étages d'aggrégation, de composition et de structuration de la matière qui se complexifie à mesure de l'éloignement de son centre ( progression vers un "futur" de la matière ), pour finalement nous offrir un feuillet intermédiaire où évolue ce que nous appelons les "amas galactiques" ( groupe de galaxie ) du spectre visible, feuillet favorable où apparait la matière dite complexe et "vivante". Seul cet étage nous est directement préhensile par l'observation. Par un effet "tunnel", ni la courbure de l'univers, ni les autres feuillets ne sont observables de la Terre. Les derniers feuillets incarnent les niveaux de fin de "vie" ou  désagrégation de la matière. Pourtant, ces feuillets existent dèjà, dans le même temps ! bien qu' impossible à voir, et sont d'actualité au sein d'un autre feuillet d'univers que nous atteindrons nous mêmes, par progression de l'ensemble vers l'extérieur, dans plusieurs milliards d'années. Cela reste théorique - J'imagine cette hypothèse dés l'année 2009 et la science pourra bientôt en vérifier les notions en commençant par les aberrations spatio -temporelle et la direction de propagation de la matière "noire".

L'originalité de cette théorie s'inscrit donc à la fois dans l'hypothèse de la permanece du point d'émergence matériel, dans la simultanéité d'existence de chaque, ...de tous les étages dans cet ensemble matériel ... et pour finir dans la présence d'un "étage extérieur" de "désagégation" de la matière ( ...dont le cycle exige un retour vers le point d'émergence )-

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................................. Croyez-vous que j'ai conçu par hasard la forme du logo simplifié "enim-cerno"  figurant sur la page d'acceuil ? Ce logo stylisé et donc simplifié représente le schéma de l'univers tel qu'il apparait vu de l'extérieur et en coupe . Cette entendement implique par ailleurs que la notion de temps n'existe pas au sens que nous lui donnons ! Ce mot est un abus de language né de l'illusion que procure la corruption des objets ainsi que surtout celle de notre enveloppe charnelle dont les rythmes biologiques fixent une pseudo horloge, erronée dans l'absolu..

L'intéraction des particules matérielles infinitésimales entre elles, dont l'échelle de temps est quasiment "infinie", créé l'illusion d'une chronologie au niveau macroscopique - La situation comme le niveau d'energie d'un objet par rapport à ce fameux noyau d'émergence galactique fixe seulement une concordance ou équivalence des paramètres, volumes et des masses matérielles. Reprenez ce chemin en "arrière" ( ce qui est impossible dans la mouvance de l'ensemble galactique ..) ....et vous retournerez sur une situation identique ou plutôt équivalente à celle "passée". La vie se situe et s'exprime donc dans l'épaisseur d'une strate sphérique de la masse galactique et se déroule selon un processus cyclique répété, continu, enchainé à mesure du dégagement des masses sphériques emportant les masses de même niveau d'énergie vers l'extérieur de l'univers.  J'en conclus peut-être bêtement sur le sujet  que ... :

...............................      <<.... Le temps  à l'échelle humaine est une illusion des sens dont la réalité est déterminée par l'interaction physique et réciproque des éléments matériels  microscopiques, sous l'action première des particules infinitésimales à haute énergie ( ou "haute vélocité" : Photon, "neutrino",...)....>>  

Comment vous en convaincre ? Il semble certainement paradoxal d'affirmer cela alors que nous ressentons tous l'influence d'un bouleversement chronologique des choses qui nous entourent - Et pourtant des indices nous montrent que celui-ci est perturbé, différent en dehors de tout ce qui est à notre contact direct par nos sens et la chair. Les astres, les éléments géologiques, les éléments microscopiques et le cosmos ( bref : L'infiniment petit ou infiniment grand ) semblent animés d'une horloge échappant à l'entendement classique.  Regardez le ciel un soir et le temps lui même semble s'arrêter - Notre temps peut être une illusion engendré par notre chair animale corruptible dont les mécanismes évolutifs d"adaptation nécessitent la combinaison et la détérioration des génomes en conformité d'un équilibre biologique "infini" et "mouvant". En réalité et en dehors du vivant, la matière peut être comparée par analogie à un volume de sable qui peut être modelé à souhait selon les désires ou la volonté d'un créateur potentiel. L'eau de l'océan incarne alors les particules à hautes énergie jouant le rôle moteur de cet ensemble et vos mains seraient les caprices ou contraintes momentanées de dame nature. Façonnez un objet, puis transformez le, détruisez le et pour finir, noyez le sous l'eau. Le résultat de tout cela est indifférent - Vous aurez toutjours du sable, un monticule géant sablonneux dans son état permanent - Seule son apparence aura momentanément changé sous l'action de contraintes limitées - Seul compte en terme physique absolu le composant élémentaire constitutif.

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......................................................................    Il est dommage et j'enrage tous les jours de ne point être un génie en modélisation mathématique - Il serait et sera possible pour des astrophysiciens du futur de transformer cet état de fait global, cette théorie d'univers, en équation dite "EQUATION D'UNIVERS".

Une fois que de brillants mathématiciens l'auront mis en lumière, celle-ci exprimera et complétera en donnée mathématique, peut-être sur la base et continuité de la théorie d'Einstein ( E: MC2 ), l'ensemble des constantes relatives à l'état et les niveaux d'énergie de la matière en fonction de la position relative dans l'univers, pris dans son ensemble en partant du noyau d'émergence à la périphérie où se désagrège la matière (.... la relativité des temps, où se situe l'élément, donc de sa position : Direction et niveau d'évolution matériel ou des systèmes vivants // la position géographique relative par rapport au noyau d'univers // leur structuration atomique - niveau d'énergie et ainsi donc l'état matériel du noyau atomique ...). Cette équation permettra de déterminer les différentes variables fondamentales de l'univers.

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Le temps exprimera alors une position, une simple variable, un niveau d'énergie et ainsi donc l'état matériel visible de la matière en fonction d'une ''position / Localisation'' par rapport au centre d'univers . Je ne sais où ni comment mais c'est au sein de cette équation que nous calculeront et intégreront finalement "l'harmonie" qui magnifiera le destin du vivant. Là se trouve la "clé" permettant de résoudre les paradoxes de l'inerte et du vivant.

 

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image: http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/builds/images/thumbs/c/c60a170604_intro.jpg

................................... Sur la dernière strate de cette sphère, le dernier feuillet de ce modèle d'univers, la plus extérieure ( ... en jaune dans le schéma ci-dessous ), la matière, quelle que soit sa nature ou l'énergie des particules qui la compose, se désagrège totalement en fin de course, y compris dans sa structure interne la plus profonde ( celle des composants atomiques ), retombant massivement et de manière invisible à notre échelle, à rebours, au travers de l'ensemble de cette sphère, par interaction vers ledit noyau de l'univers, unique point d'émergence où rejaillit la matière pour alimenter un cycle qui ne trouve pas sa fin. Il existe donc une convergence des flux de cette énergie invisible vers un centre de l'univers.

Cette conception permet de retrouver l'objet troublant de la fameuse et insaissable matière* "noire" qui compose l'essentiel de la masse de l'univers visible selon les dires des savants et qui serait donc le résultat de la décomposition de la matière aux confins de l'univers - Ma conception de l'univers matériel doit être mise en parallèle avec le règlement des paradoxes "psy" de l'humanité, le "collectif citoyen universel", pilier de civilisation devant nous mener vers les éléments institutionnels et politiques permettant l'éclosion partout dans l'univers de ce destin antagoniste à la destruction cyclique de la matière . Chaque chose est imbriquée. J'ai imaginé les éléments disparates de cette théorie voilà bien longtemps avant de les écrire sur les pages de mon sites. Cette année 2012 me semble opportune pour vous les faire partager sur ces pages internet.

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Voici un schéma N°1 symbolique ( en coupe ) de ma théorie d'univers - Ce schéma intègre les notions dont je relate le contenu ci-dessus ....

Cette théorie personnelle porte le nom évocateur de "CONTINUOUS BANG" ( nom déposé  sur site le 3 juillet 2017 - creation perso eucharilxtonw  - ) et met en place une zone de prédilection du vivant ( entre les point A et B du croquis ) -

 

 

Dessin 4

 

 

Ce second schéma ci dessous ( schéma 2 ), toujours symbolique et non à l'échelle, donne de nouvelles indications sur le sens de circulation des flux matériels dans ma théorie d'univers - Les deux schémas se superposent, on retrouve les repères du noyau d'univers et de la couche périphérique de désagrégation atomique..

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.... Cette théorie ( ... qui reste une hypothèse de travail spéculative non prouvée - ... comme toutes les théories cependant !!) est alternative car elle propose un point de jaillissement permanent de la matière avec son corollaire de cycle perpétuel . Il n'est plus question d'un "big crunch", "big bang" ou "big bounce" puisque tout ces  hypothèses se cumulent et se pratiquent consécutivement dans la sphère d'univers. La matière évolue, se transforme, se compléxifie en s'éloignant de son centre ( noyau d'univers ),... pour donner par exemple les amas galactiques que nous voyons dans l'objectif de nos télescopes, et d'ainsi finalement engendrer la matière dite vivante sur une strate déterminée, puis finit en désintégration ( des particules atomiques ) en bout de chaïne sur la dernière strate de l'univers. Les particules ainsi désagrégées, échappent à l'ensemble des mécanismes physiques transitionnels ( circulation sur une dimension immatérielle parallèle ) pour retomber vers la source d'émanation ( noyau d'univers ) Le processus est ainsi alimenté en permanence, dans un cycle infini que la représentation du schéma simplifié N2 m'oblige à déformer dans sa réalité puisqu'il semble n'y avoir que huit "colonnes" de circulation ayant un sens défini par des fléches.  Dans la réalité, cette circulation de matière descendante vers le noyau est omniprésente et s'opère en tous les points de l'univers vers un centre. Dans ce système le "Temps" ( dans sa définition classique ) n'existe pas puisque les particules fondamentales (... bien plus petites que le quark & boson de higgs ) font inlassablement et sans alteration le tour complet d'univers en passant alternativement par tous les niveaux d'énergie et d'état  ... en fonction de leur éloignement par rapport au centre de l'univers. Le volume initial de ces particules élémentaires reste cependant inchangé. Voilà l'éssentiel des paramètres de ma modeste théorie.

Pour nous, pauvres humains, il serait donc théoriquement possible d'aller vers un temps "passé" de l'univers ( ou plutôt strictement équivalent dans le passé tout en engageant des particules différentes ) ou équivalent dans le futur en circulant dans les différentes couches de l'univers. Tous les temps, toutes les époques co-existent simultanément depuis le noyau d'émergence sous forme d'énergie pure aux premiers instants ... jusqu'au point le plus éloigné de l'univers où la matière arrive en fin de vie- Voilà en substance pourquoi on peut ainsi prétendre que le temps n'existe pas. Mais encore, cette théorie doit être envisagée parallélement à mes "prophécits" car la matière vivante se donne alors un rôle spécifique privilégié, une pouvoir d'ordonnancement des états de la matière : Notre destin peut être magnifié et redonner puissance à une volonté supérieure, encore indescriptible aspirant à la sortie de ce cycle sans fin.... destin magnifique dont le collectif citoyen universel (CCU) , en convergence avec d'autres institutions, doit permettre l'éclosion, grâce à notre modeste mais néanmoins indispensable intermédiaire.

Je vous laisse donc en prendre connaissance au travers de toutes les subtilités des différents chapitre de mon site.

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Théorie du temps perpétuel -

Revenons provisoirement sur cette épineuse notion de "Temps" - J'affirme qu'il n'existe pas : Mon propos est exagéré si l'on considère notre niveau humain car nous le voyons bien modifier les états de la matière ainsi que de notre environnement. Alors qu'est-ce ? C'est bien un problème de définition et des paramètres que nous pouvons inclure dans la notion. Le célébre Einstein fait admettre en 1915 la notion de "relativité" du temps. Plusieurs éléments perturbent notre jugementsensoriel annimal. Je le dis plus haut, notre enveloppe charnelle animale dans un milieu terrestre trés favorable aux échanges chimiques et physiques décuple la sensation d'altération des objets tangibles.

Mon intuition maladive me fait imaginer qu'il doit exister une notion mathématique permettant de définir le "Temps", une époque définie, en fonction des éléments inclus dans ma théorie - (05/08/2017 - 16H00) ... 

- Notion de temps selon Eucharilxtonw -

.Texte daté du 24/08/2017 – 16H00 -

Revenons un moment sur cette épineuse notion de temps – j'affirmais à l'instant qu'il n'existe pas – Qu'est-ce-que cela signifie? Mon propos peut sembler exagéré si l'on considère le temps à notre niveau terrestre car nous le voyons bien modifier les états de la matière ainsi que de notre environnement. Il s'agit bien d'un problème de définition et des paramètres que nous pouvons inclure dans la notion de temps. Mon ambition consiste à vous aiguiller progressivement vers ce que j'appelle une «Equation d'univers» où le Temps devient une variable mathématique définissable et connaissable déterminant un état et la position d'une particule dans l'espace temps. Voilà mon modeste but: Donner au temps sa dimension mathématique modelisable . Mais je ne peux quant à moi seulement vous mettre sur la piste …, vous et les générations futures. Le célébre scientifique Albert Einstein fait admettre la notion de "relativité" en définissant la notion d'élasticité de l'espace/temps (... et sa déformation en fonction du milieu où il se mesure) Il fait admettre que le temps est une notion variable liée à la matière elle même.

Plusieurs éléments perturbent en effet notre jugement. Je le dis plus haut, notre enveloppe charnelle animale dans un milieu terrestre trés favorable aux échanges chimiques et physiques décuple faussement la sensation de modification des objets tangibles. Ces modifications sont elles si importantes qu'elle ne le paraissent ? Je ne le crois pas – Le milieu terrestre nous leurre.

En réalité et en dehors du vivant, dont les modifications sont permanentes, la matière peut être comparée par analogie à un volume de sable qui peut être modelé à souhait selon les désires ou la volonté d'un créateur potentiel. Dans cette métaphore, l'eau de l'océan incarne les particules à haute énergie qui jouent le rôle moteur de la machine physique : Le facteur principal et initial de cet ensemble. Vos mains incarnent alors les caprices ou contraintes momentanées de dame nature. Façonnez un objet, puis transformez le, détruisez le ... et pour finir, noyez le tout sous l'eau. Le sable retourne à son état initial. Le résultat de ces modifications illusoires est indifférent – Ces modifications ne sont que d'apparence - Vous aurez toutjours du sable, un monticule géant sablonneux dans son état permanent - Seule son apparence aura momentanément changé sous l'action de contraintes limitées et strictement équivalentes -

Mais il y a plus -

Que dire de la réalité d'un temps qui correspond à des modifications indifférentes, transitoires s'exprimant sur un cycle matériel intemporel, car répétitif à l'infini ? ( cf schéma sur la coupe de l'univers selon Eucharilxtonw ) ... se déroulant dans un volume invariable et d'éléments constitutifs invariables?

Dans la réalité, cette circulation de matière ascendante puis descendante vers le noyau d'univers est omniprésente et s'opère en tous les points de l'univers vers un centre dont l'image la plus classique fait appel à la notion (fausse) de big-bang. Dans le système correspondant à cette hypothèse, le "Temps" ( dans sa définition classique) n'existe pas puisque les particules fondamentales (... bien plus petites que le quark & boson de higgs ) font inlassablement et sans la moindre alteration le tour complet de l'univers en passant alternativement par tous les niveaux d'énergie et tous les états ... en fonction de leur éloignement par rapport au centre de l'univers. Le volume initial de ces particules élémentaires reste cependant inchangé. Voilà l'éssentiel des paramètres de ma théorie sur l'espace-temps.

Pour nous, pauvres humains, il serait donc possible d'aller vers un temps "passé" de l'univers – en se dirigeant vers le noyau - ( ou plutôt strictement équivalent dans le passé tout en engageant des particules «cousines» à la fois strictement identiques bien que physiquement différenciées ) ou équivalent dans le ''futur'' – direction extérieure au noyau par rapport à notre localisation - en circulant dans les différentes couches de l'univers.Tous les temps, toutes les époques co-existent simultanément depuis le noyau d'émergence sous forme d'énergie pure aux premiers instants ... jusqu'au point le plus éloigné de l'univers où les composantes de la matière arrive en fin de vie- Voilà en substance pourquoi on peut ainsi prétendre que le temps n'existe pas, n'est qu'une illusion. J'ajoute pour conclure qu'il commencera le jour où notre interevntion intellectuelle permettra de faire sortir l'univers de cette boucle sans fin. ( cf prophecit ) -


............................... <<....Le temps à l'échelle humaine est une illusion des sens dont la réalité est déterminée par l'interaction physique réciproque des éléments matériels microscopiques, sous l'action première des particules infinitésimales à haute énergie ( ou "haute vélocité" : Photon, "neutrino",...)....>>

''L'atemporalité'' est une des trois composantes conceptuelles caractéristiques de la théorie ''d'univers continu'' ( ou ''continuous Bang'' ) décrite par Eucharilxtonw. Cette composante spécifique implique de concevoir l'univers comme une bulle de matière et d'énergie animée par un cycle perpétuel de «Création / Destruction» au sein de laquelle toutes les phases de développement ( Temps ) coexistent simultanément.

L'atemporalité n'interdit pas l'écoulement du temps apparent dans notre dimension ni ces effets directs à l'échelle humaine, mais permet d'appréhender ainsi que de considérer l'indifférence des mécanismes visibles à l'échelle de l'univers.

Dans cette hypothèse, à l'échelle de l'univers, les phénomènes matériels se déroulent par strates ( ou couches successives exprimant sur chaque étage un niveau d'énergie différent: CF vue en coupe de l'univers selon eucharilxtonw ).

L'atemporalité implique sous une autre forme que, à l'échelle de l'univers considéré comme entité globale, les phénomènes sont ''répétitifs'' et ''équivalents'', en partant d'une zone d'émergence ( Point central ) où la matière naît ''par rebond'' tandis que les états de la matière évoluent vers l'extérieur par déplacement des couches vers de nouveaux états énergétiques en finissant sur une strate de dislocation des mégastructures cosmiques, puis sur une strate finale de désintégrégation atomique.

( A l'atemporlité s'ajoute donc deux autres caractéristiques définissant la théorie d'univers d'Eucharilxtonw : ''Répétitif'' sous entend que les phénomènes se reproduisent invariablement sur une strate considérée. / ''Equivalent'' sous entend que les événements prennent des formes physiques différentes en apparence, mais rigoureusement identiques quant au contenu ''absolu'' )

Devenus évanescents, les résidus énergétiques élémentaires purs issus de cette désintégration en fin de parcours, rejoignent une dimension alternative de retour vers le noyau originel, pour réalimenter le processus de vie cyclique de l'univers.

( … Il semble donc incorrect dans le cadre de cette théorie de parler d'expansion de l'univers mais il convient en revanche d'évoquer la notion de déplacement des masses matérielles dans un ensemble / de masse et volume constant / vers des niveaux énergétiques différents : Les strates ne se dilatent pas à proprement dit, mais intègrent la matière en provenance d'un niveau d'énergie inférieur en compensation stricte de celle évacuées en permanence de ce niveau vers les couches supérieures : Il y a donc une compensation parfaite des masses en déplacement vers l'extérieur en équilibre de celles se déplaçant en retour vers le noyau sur une échelle ou dimension différente … . )

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Comment vous en convaincre ? Il semble certainement paradoxal d'affirmer cela alors que nous ressentons tous l'influence d'un bouleversement chronologique des choses qui nous entourent - Et pourtant des indices nous montrent que celui-ci est perturbé, différent en dehors de tout ce qui est à notre contact direct par nos sens et la chair. Les astres, les éléments géologiques, les éléments microscopiques et le cosmos ( bref : L'infiniment petit ou infiniment grand ) semblent animés d'une horloge échappant à l'entendement classique. Regardez le ciel un soir et le temps lui même semble s'arrêter - Notre temps peut être une illusion engendré par notre chair animale corruptible dont les mécanismes évolutifs d"adaptation nécessitent la combinaison et la détérioration des génomes en conformité d'un équilibre biologique "infini" et "mouvant".

Cette conception originale du temps s'intègre pleinement dans L'équation d'univers comme un des paramètres définissant la position d'une partcule dans l'espace temps par rapport au noyau d'univers ...

Résultat de recherche d'images pour "dessin temps infini"

.................................................... J''enrage tous les jours de ne point être un génie en modélisation mathématique - Il serait et sera possible pour des astrophysiciens du futur de transformer cet état de fait global, cette théorie d'univers, en équation dite "EQUATION D'UNIVERS".

Celle-ci exprimera probablement en donnée mathématique sur la base et complément de la célébre théorie d'Einstein

( E : MC2 ) - L'ensemble des paramètres expriment l'état, la position et les niveaux d'énergie ( ou quantum informationnel en fonction de l'infini ou du point zero ) de la matière en fonction de la position relative d'une particule dans l'univers – Position: Eloignement par rapport au noyau d'émergence (....La relativité du temps s'exprimé en fonction de la direction et la position où se situe l'élément par rapport au noyau d'émergence – Cet élément s'exprimera sur les variables situées à gauche de l'équation // Les déclinaisons de l'équation feront apparaître Le niveau d'évolution matériel ou des systèmes vivants, ...). Cette équation permettra notamment de déterminer les différentes variables fondamentales de l'univers et notre position dans cet ensemble.

C''est au sein de cette équation que notre travail de recherche commun permettra d'intégrer finalement "l'harmonie" qui magnifiera le destin du vivant. Là se trouve la "clé" permettant de résoudre les paradoxes de l'inerte et du vivant.

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Voyons ce que nous apprend la doctrine sur le sujet de la notion de ''temps'' ....

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.https://dicophilo.fr/wp-content/uploads/fiche-temps.pdf

Temps -

1) Dimension du réel qui rend possible et compréhensible le changement. a. (Usuellement) Milieu indéfini et homogène où se déroulent les événements naturels et l'existence humaine.

2) Mesure de la dimension du réel précédente.

3) Durée limitée, considérée par rapport à l'usage qu'on en fait.

4) Occasion favorable pour agir.

5) Époque déterminée du passé d'un collectif ou d'un individu.

6) Époque actuelle ou une époque indéterminée.

Terme courant et très polysémique. On parle de temps en physique, en grammaire, en météorologie et dans d'autres contextes courants (unité de mesure, occasion, époque). Un tel usage de temps n'est pas cependant commun à toutes les langues : l'anglais ou l'allemand possèdent différents termes selon les situations (time en physique, tense en grammaire, weather en météo). Au sens (1), le temps est la dimension du réel qui rend possibles et compréhensibles les mouvements et les changements (Godin). Cette définition proposée par Godin semble meilleure que la définition usuelle, qui ne brille pas de clarté : « milieu indéfini et homogène où se déroulent les événements naturels et l'existence humaine ». Indéfini ? C'est-à-dire ?

Avec l'espace, le temps apparaît comme le cadre de tout ce qui existe dans l'univers. Cependant l'espace semble

(a) tridimensionnel ;

(b) doté de directions plusieurs réversibles.

À l'inverse, le temps semble n'avoir qu'une seule dimension (la succession), et n'avoir qu'une direction irréversible. On peut annuler un déplacement dans l'espace en revenant au point d'origine. Mais on ne peut pas annuler ou empêcher un déplacement dans le temps.

Une des difficultés les plus importantes tient dans la dualité des manifestations du temps. D'une part, le temps paraît être une réalité objective, indépendante des sujets qui y évoluent et qui tentent de la connaître. D'autre part, il constitue une réalité vécue subjectivement, et sans laquelle il nous serait impossible d'exister (ou de penser le temps). On sépare canoniquement le temps dit objectif (milieu homogène) et le temps subjectif (non homogène). Toutefois parler de temps pris comme extérieur au sujet ou pris comme intérieur au sujet serait plus exact. Voir les distinctions infra. Parmi les images associées au temps, deux sont particulièrement prégnantes : • celle de l'écoulement du fleuve • celle du retour cyclique Comme le temps, le fleuve manifeste une unidirectionnalité (vers la mer / vers le futur), une succession (des eaux / des instants) et une linéarité. Le fleuve est une figure de la nécessité et de l'irréversibilité du passage du temps – et du vieillissement individuel. À l'opposé, l'image du retour des saisons donne une vision du temps circulaire. Il y aurait un retour des mêmes réalités au cours du temps. Le temps présent ne se limite pas à fuir ou à disparaître, il peut avoir une forme de retour. Si l'idée d'un temps circulaire offre une forme d'intemporalité ou d'éternité à quelques Originellement publié sur http://dicophilo.fr sous licence CC-BY-NC-SA 3.0 1/4 Temps : Définition philosophique (fiche personnelle) http://dicophilo.fr phénomènes, elle n'est jamais strictement détachée du temps linéaire. Pris littéralement, l'éternel retour est un mythe, une expérience de pensée, mais pas une thèse réelle sur la nature du temps. Au sens technique (2), la mesure de la dimension du réel précédente. En ce sens il y a une histoire du temps, qui est celle des techniques pour le mesurer. On présente souvent le temps (2) comme le temps des horloges. Il est objectif en tant qu'il résulte d'un accord volontaire sur un ensemble de normes. La mesure du temps se fait en prenant un laps de temps comme unité, unité à laquelle on réfère ensuite pour mesurer le temps. Exemple : le temps que met une clepsydre à se vider est une telle unité, idem pour un cycle lunaire. On privilégie en général des mouvements réguliers et observables comme unité de temps. Et en tant que point de référence, l'unité choisie joue un rôle normatif. Globalement, l'histoire de la mesure du temps a été celle d'une augmentation de la précision des instruments de mesure et de l'établissement d'unité de temps de plus en plus « objectives ». Le référent solaire (diffère selon les lieux, saisons) et les artefacts imprécis (clepsydre) ont été supplantés par des instruments doté d'une régularité moins sujette à variation1 (montres mécaniques, horloges). Et ce qu'on prend comme unité de temps est devenu un élément plus universel (depuis 1967 la seconde est définie par rapport un état de l'atome césium2 ). Au delà de l'établissement d'une unité de temps, la mesure du temps à plus long terme intègre le choix d'un repère à partir duquel compter les unités. On prend en général un événement considéré comme important au sein d'une culture (200 av. JC, an I de la Révolution).

Alors que les unités de mesure de temps sont communes internationalement, les repères initiaux varient selon les cultures et les religions. Problème de l'objectivité du temps. Contrairement à l'espace, le temps (1) n'est pas directement perceptible. On ne saisit le temps qu'indirectement, via des changements extérieurs (mouvements) ou intérieurs (conscience). La question se pose alors de l'existence objective du temps ou non. Newton a pensé le temps comme un cadre immuable des événements physiques : à la façon de l'espace newtonien, le temps est universel, absolu et indifférent à ce qui se passe en lui. À l'inverse, Kant a vu dans le temps une forme a priori de la sensibilité : son existence est dépendante du sujet (CRP, Esthétique transcendantale, 2,

§4). La question de l'objectivité du temps est doublement difficile : d'une part, elle interroge sur la nature du temps (réalité absolue ou ensemble de relations) ; d'autre part, elle recoupe le constat d'une dualité de manifestations du temps. Quelque soit la nature du temps, il présente des manifestations différentes, qu'on peut dire objectives ou subjectives. Il y a alors un risque de confusion : parler de temps objectif ou subjectif, est ce parler de la nature du temps ? Ou de la modalité de sa connaissance ? ..........  ( ....,... suite sur le site )

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......................  http://www.astrosurf.com/nitschelm/temps.html

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Définitions relatives au temps issues de différents dictionnaires:

 

Temps: Celle des dimensions de l'Univers selon laquelle semble s'ordonner la succession irréversible des phénomènes (Dictionnaire Hachette 1992).

 

Temps: Milieu indéfini où paraissent se dérouler irréversiblement les existences dans leur changement (Dictionnaire Petit Robert 1981).

 

Temps: Mesure de la durée des phénomènes (Petit Larousse 1970).

 

Autres définitions utiles.

 

Moment: Petit intervalle de temps.

 

Instant: Moment infinitésimal (très court ou instantané).

 

Durée, ou intervalle de temps: Pour un phénomène physique, espace de temps compris entre deux instants, l'instant initial et l'instant final.

 

Période: Espace de temps caractéristique d'un phénomène physique. ( ..,... suite sur le site )

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.............. Des scientifiques réunis pourunenouvelledéfinitiondutemps

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....................... http://www.maxisciences.com/greenwich-mean-time/50-scientifiques-reunis-pour-une-nouvelle-definition-du-temps_art18277.html

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.............. http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/11/27/comment-la-theorie-de-la-relativite-d-einstein-a-change-nos-vies_4819236_4355770.html

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Comment la théorie de la relativité d’Einstein a changé nos vies

La relativité générale, la célèbre théorie d’Albert Einstein, a 100 ans cette semaine. L’occasion de revenir sur une équation qui a changé le monde.

Le Monde |  • Mis à jour le  | Par Gary Dagorn

image: http://img.lemde.fr/2015/11/27/0/0/1644/1060/534/0/60/0/c807e42_18111-107cc3r.jpg

Albert Einstein en 1921.

 

L’une des plus célèbres équations de la science fête ses 100 ans. Publiée le 25 novembre 1915 dans la revue de l’Académie des sciences de Prusse (Sitzungsberichte der Preussischen Akademie der Wissenschaften zu Berlin, pages 844-847), l’équation d’Einstein – non, il ne s’agit pas de « E = mc² » – est l’équation fondamentale de la relativité générale.

 

Des deux théories de la relativité découlent deux conclusions révolutionnaires qui sont toujours valables à ce jour. La première est que l’espace et le temps sont liés, on dit que le temps forme la quatrième dimension. La seconde est que l’un et l’autre sont relatifs. C’est-à-dire que l’espace et le temps ne sont pas absolus et peuvent être déformés. En ce sens, l’équation d’Einstein implique que la gravitation ne soit plus considérée comme une force s’exerçant à distance, mais comme une propriété géométrique de l’espace-temps lui-même.

Il est souvent répété que cette théorie a révolutionné notre compréhension de l’univers et de la gravité. Mais cette révolution ne s’est pas arrêtée au cercle des physiciens et a donné naissance à plusieurs applications concrètes, utilisées quotidiennement.

1. Le GPS

Le GPS, ou Global Positioning System, est probablement l’application la plus connue de la relativité d’Einstein. Le GPS utilise une constellation de 32 satellites couvrant la totalité de la surface du globe. Ces satellites orbitent autour de la Terre à 20 200 kilomètres d’altitude, à une vitesse d’environ 14 000 km/h, pour calculer plusieurs centaines de millions de positions au sol chaque jour. Mais tout cela ne serait pas possible sans tenir compte des effets de la relativité.

 

image: https://j.gifs.com/m6b98A.gif

Car à une telle altitude, la gravité terrestre subie par les satellites est 17 fois moindre qu’au sol. Or, le temps étant relatif, il ne s’écoule pas exactement à la même vitesse au sol ou en altitude, car la force de la gravité exercée n’y est pas la même. Au bout de 24 heures, une horloge atomique située à bord d’un satellite GPS aura 45 microsecondes d’avance sur la même horloge atomique située au sol, la masse de la Terre ralentissant l’écoulement du temps.

Le temps n’est pas dilaté que par la masse des objets, mais aussi par leur vitesse. Pour une horloge en mouvement telle que celles à bord des satellites GPS, le temps ralentit légèrement, d’environ 7 microsecondes par jour.

Il faut donc tenir compte de ces deux effets inverses combinés pour synchroniser continuellement les horloges à bord des satellites avec celles au sol pour corriger cette avance (45 microsecondes d’avance et 7 microsecondes de retard, soit 38 microsecondes d’avance toutes les 24 heures).

38 microsecondes, ça n’a l’air de rien mais c’est assez pour fausser une navigation après seulement deux minutes, l’erreur de positionnement pouvant atteindre jusqu’à dix kilomètres par jour.

2. Les télévisions à tube cathodique

Même s’ils sont maintenant dépassés par les écrans plats, les écrans cathodiques ont régné sur le monde pendant quarante ans. Et votre vieille et volumineuse télévision n’aurait pas pu fonctionner si l’on ne savait pas prendre en compte les effets de la relativité d’Einstein.

Pourquoi ça ? Parce que dans un écran à tube cathodique, l’image est générée par un flux d’électrons venant frapper une plaque électroluminescente, produisant de la lumière à chaque stimulation par les électrons. Les électrons, des particules élémentaires portant une charge électrique négative, sont accélérés à grande vitesse puis déviés par des bobines générant un champ magnétique pour frapper à l’endroit visé la plaque luminescente. Seulement, ces électrons sont accélérés à près de 30 % de la vitesse de la lumière (soit environ 90 000 kilomètres par seconde), et à une telle vitesse, les effets de la relativité générale deviennent non-négligeables.

 

image: https://j.gifs.com/KdEWa2.gif

Les ingénieurs ont donc dû prendre en compte la contraction des longueurs dans la fabrication des aimants, sans quoi le flux d’électron, mal dévié, fabriquerait des images totalement inintelligibles.

La théorie de la relativité n’a pas seulement eu des applications technologiques directes, elle a su également expliquer précisément l’origine de certains phénomènes physiques.

3. L’électromagnétisme

Vous l’ignorez peut-être, mais vous profitez des effets de la relativité (restreinte) à chaque fois que vous utilisez de l’électricité – en lisant ces lignes par exemple.

Pourquoi ? Parce que l’on génère la majeure partie de notre électricité en tirant partie des effets relativistes de l’électromagnétisme, car la plupart des générateurs d’électricité produisent leur énergie à partir d’un puissant champ magnétique.

Qu’a à voir la théorie de la relativité là-dedans ? Pour le comprendre, il faut expliquer la notion de contraction des longueurs. La relativité restreinte énonce que si un objet A d’une longueur d’un mètre est en mouvement par rapport à un observateur fixe B, la longueur perçue de cet objet A par l’observateur B sera inférieure à un mètre. Cette longueur perçue dépend de la vitesse de l’objet A : plus il se déplace rapidement, plus il semblera se contracter aux yeux d’un observateur fixe :

image: http://img.lemde.fr/2015/11/27/0/0/2262/1135/534/0/60/0/6f86256_18005-1ve6z1h.jpg

 

Le principe est le même pour générer de l’électricité à l’aide d’un champ magnétique. Un champ magnétique appliqué sur un fil conducteur en mouvement produit un flux d’électrons qui se déplacent le long du fil. Dans le référentiel des électrons, les protons (qui sont chargés positivement) sont également en mouvement, c’est à ce moment que la contraction des longueurs s’applique : du point de vue des électrons, l’espace entre chaque proton est plus court, la densité de particules chargées positivement augmente et crée dès lors un courant électrique chargé lui aussi positivement.

4. La couleur de l’or

Peut-être est-ce un fait plus anodin, mais aussi surprenant que cela puisse paraître, la couleur de l’or est également due aux effets de la théorie de la relativité.

Pour le comprendre, il faut examiner l’atome d’or. Un atome d’or est plutôt lourd, massif. Il comporte un noyau de 79 protons et autant d’électrons orbitant autour du noyau. Les électrons peuvent être sur plusieurs « orbites » plus ou moins proches du noyau, tout comme les planètes du système solaire tournent autour du soleil à plus ou moins de distance.

image: http://img.lemde.fr/2015/11/27/0/0/1500/750/534/0/60/0/923b376_21360-1y923fw.png

Modèle orbital de l'atome d'or et de ses 79 électrons.

 

Seulement, la vitesse de révolution des électrons positionnés au plus proche du noyau est si élevée (environ la moitié de la vitesse de la lumière, soit 150 000 km/s) que les effets de la relativité interviennent. La contraction des longueurs fait apparaître ces électrons plus proches les uns des autres et influence les longueurs d’onde que ceux-ci absorbent et reflètent.

Sans ces effets relativistes, les atomes d’or devraient théoriquement aborder des longueurs d’onde dans l’ultraviolet, c’est-à-dire dans le spectre non-visible de la lumière. Or, les atomes d’or absorbent en réalité la lumière située dans la partie bleue du spectre visible et ne reflètent donc que la lumière située entre le jaune et le rouge, d’où la couleur dorée dont il brille. (...,...,.... )

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................................ Explication sur la théorie de la relativité

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............................... https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_la_relativit%C3%A9

 

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ANNEXE BIBLIO -

Ci dessous les différentes théories d'univers -

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....................................... http://www.epochtimes.fr/3-alternatives-au-big-bang-10039.html

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3 théories cosmologiques alternatives à celle du Big Bang

   11/01/2016 Temps de lecture : 2 minutes

3 théories cosmologiques alternatives à celle du Big Bang

 

Dans Au-delà de la science, Epoch Times explore les recherches et les récits examinant les phénomènes et les théories qui posent un défi aux connaissances actuelles. Nous nous penchons sur les idées stimulant l’imagination et ouvrant de nouvelles possibilités. Faites nous part de vos idées sur ces sujets, parfois controversés.

Puisque « la théorie du Big Bang » ne reste au final qu’une théorie, existe-t-il d’autres explications hypothétiques de l’origine de l’univers connu ? Voici un bref résumé de trois hypothèses alternatives à la théorie de Big Bang.

La théorie de l’état stationnaire

Selon la théorie de l’état stationnaire, populaire dans les années 1 950 et 1 960, l’univers a toujours existé, dans son état actuel. Qu’en est-il alors de l’expansion apparente de l’univers, observée par les astronomes ? Pour les adeptes de la théorie stationnaire, l’univers peut tout à fait s’étendre, mais rester essentiellement identique. A mesure que l’univers s’étire de plus en plus, la matière est continuellement créée à partir de rien.

Avec la découverte du fond diffus cosmologique (CMB pour cosmic microwave background), cette approche a progressivement été affaiblie. Le fond diffus micro-onde (autre appellation) est un rayonnement électromagnétique issu du Big Bang. Les astronomes s’en servent pour estimer l’aspect de l’univers à ses tout débuts, aux premiers jours, voire aux premières fractions de secondes. Les adeptes de la théorie stationnaire n’avaient pas d’explication alternative au CMB, selon un résumé de la théorie par PBS.

Théorie du Rebond

Cette théorie n’exclue pas le Big Bang, mais soutient l’existence de plusieurs Big Bangs consécutifs. Entre deux Big Bang, il y a un Big Crunch (point critique) — le point critique d’expansion de l’univers avant son effondrement sur lui-même. L’oscillation entre l’expansion et l’effondrement de l’univers se nomme aussi le Grand Rebond.

Selon un article de Universe Today, les scientifiques qui étudient le CMB soutiennent la possibilité « d’une mort froide ou grand gel » de l’univers, plutôt que son extinction dans une Grande Contraction.

Théorie de l’univers inflationnaire ou Fluctuation chaotique

Les questions soulevées par le physicien Andrei Linde, de Stanford, ne trouvent pas de réponses dans la théorie du  Big Bang. Certaines de ces questions ont été présentées dans un article du magazine Stanford Alumni en 2007 : «  qu’est-ce qui a explosé ? Pourquoi a-t-il explosé à ce moment précis, et pourquoi partout simultanément ? Qu’y avait-il avant l’explosion initiale ? ».

Le Big Bang n’a peut être pas été un événement unique, mais plutôt une inflation dispersée et irrégulière, conçoit Linde. Il a développé sa théorie de l’inflation chaotique dans les années 1980 : des expansions comme celle du Big Bang, auraient pu se produire dans n’importe quel point de l’espace, où l’énergie potentielle nécessaire était disponible. « Nous avons accepté le postulat que l’univers, dans son entièreté, a été créé au même moment », fait remarquer Linde. « Ce n’était pas le cas ».

Les études du CMB dans les années 1990 ont révélé des variations d’intensité, créditant une certaine preuve à la théorie de l’inflation chaotique.

Pour Linde, dans une perspective vraiment très large, le cosmos ne peut être contenu dans le cadre explicatif que la science a érigé. « Au lieu d’un univers reposant uniquement sur des lois physiques, l’inflation chaotique perpétuelle conçoit un multivers auto-généré, existant éternellement, où toutes les possibilités sont réalisables », explique Linde. « Des lignes parallèles peuvent finir par se toucher dans l’infini. Les lois de la physique peuvent évoluer. … Nous ne le voyons simplement pas, lorsque cela se produit. Nous sommes comme des fourmis, sur une énorme montgolfière », conclut-il. (...,... )

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................................................. Big bounce - voir sur le site origine -

..............................             https://fr.wikipedia.org/wiki/Big_Bounce

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........................................   http://www.futura-sciences.com/sciences/dossiers/astronomie-univers-inflationnaire-18/page/7/ 

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SCIENCES

L'inflation chaotique

Dossier - L'univers inflationnaire

Pour corriger les problèmes cosmologiques qui apparaissaient dans le modèle d'Alan Guth, et en particulier l'inhomogénéité de son modèle à grande échelle, en 1982 Andreï Linde7 proposa une version quantique du modèle inflationnaire de Coleman-Guth, dans lequel les champs pouvaient fluctuer, les particules élémentaires étant instables. On dénomma cette théorie l'inflation chaotique. Elle sera également découverte par Andreas Albrecht et Paul Steinhard quelques mois plus tard.

Mais de l'aveu même d'Andrei Linde cette solution était tout aussi complexe et peu réaliste que la précédente. Un an plus tard il découvrit que l'inflation émergeait naturellement des théories des particules élémentaires et incluait les modèles les plus simples des champs scalaires tel que nous l'avons expliqué ci-dessus. Andrei Linde nous rappelle ses principes : "Il n'est plus nécessaire de tenir compte d'effets gravitationnels quantiques, de transition de phase, de surfusion ou même d'assumer l'idée standard acquis que l'univers était originellement chaud. Il faut juste prendre en considération toutes les valeurs que peuvent prendre les champs scalaires dans l'univers primordial et vérifier si l'une d'entre elles conduit à l'inflation". Dans les régions où l'inflation n'a pas lieu, l'espace-temps reste à l'échelle atomique mais là où l'inflation se produit l'espace-temps devient gigantesque et domine tout le volume de l'univers. C'est parce que les champs scalaires de l'univers primordial peuvent prendre des valeurs arbitraires qu'Andrei Linde a choisi d'appeler ce scénario l'inflation chaotique.

Après la phase inflationnaire l'énergie potentielle restant des champs scalaires continua de fluctuer aux alentours de son niveau minimum. C'est au cours de ces oscillations que l'énergie des champs scalaires fut distribuée aux particules élémentaires jusqu'à ce que s'installe une sorte d'équilibre thermique. A partir de là le modèle inflationnaire de Linde rejoint la description du modèle Standard.

 

Fluctuations chaotiques du vide quantique

 

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Classiquement, dans le vide quantique les valeurs du champ scalaire doivent décroître en l'absence d'énergie mais de petites fluctuations quantiques gaussiennes peuvent créer des domaines exponentiellement étendus dans lesquels la valeur du champ scalaire est beaucoup plus élevée que sa valeur initiale. Le volume des pics est par exemple beaucoup plus vaste que celui des régions alentour où le champ scalaire présente une densité d'énergie minimale. A gauche un modèle quadratique (maximum du potentiel sinusoidal), à droite un modèle cubique (maximum du potentiel effectif plat). Document G.Felder.

 

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Avec le recul Linde considèra en 1994 dans le magazine "Scientific American" que "cette théorie est vraiment simple et il est difficile de comprendre pourquoi on ne l'a pas découverte plus tôt. Je pense que la raison était purement psychologique. Le succès glorieux de la théorie du Big Bang a hypnotisé les cosmologistes. Nous assumions l'idée que l'univers tout entier s'était créé au même moment, que l'univers était initiallement chaud et que les champs scalaires se trouvaient au départ dans un état proche de leur niveau d'énergie potentielle minimale. En délaissant ces assomptions, on découvre immédiatement que l'inflation n'est pas un phénomène exotique invoqué par les théoriciens pour résoudre leurs problèmes. Il s'agit d'un régime général qui se produit dans de nombres classes de théories des particules élémentaires".

 

 

Contrairement aux scénarios inflationnaires imaginés dans les années 1980, si l'univers contient au moins un domaine inflationnaire suffisamment vaste, comme le nôtre, il peut produire sans cesse de nouveaux domaines inflationnaires par le simple fait de l'instabilité des champs scalaires. L'inflation dans chacun de ses points peut s'arrêter brutalement ou continuer de s'étendre. Le volume de ces domaines pouvant croître sans cesse Andrei Linde dénomme ce scénario l'inflation éternelle.
Cette réaction en chaîne est semblable à un univers à structure fractale, ressemblant à une sorte d'arborescence boursouflée par les bulles des univers multiples nés des inflations successives. 
L'Univers dans son ensemble serait donc immortel. Chaque partie particulière de cet univers serait née d'une singularité et pourrait dans un lointain avenir s'effondrer dans une singularité fatale. Pris dans sa globalité cet Univers n'aurait pas d'évolution. On peut comparer ce processus à la vie : au fil des générations les hommes meurent mais globalement l'humanité survit et se développe.
Si l'inflation chaotique explique l'évolution future de notre univers, son passé est plus incertain. Il y a une chance pour que toutes les parties de l'Univers aient été créées simultanément à partir d'un phénomène de Big Bang et d'une singularité initiale. Mais aujourd'hui grâce à la théorie de Linde cette condition n'est plus obligatoire.
L'inflation éternelle. Chaque bulle est un univers né d'un Big Bang local, chaquecouleur appliquant des lois physiquesparticulières. Document A.Linde.

Si on considère l'"arbre cosmique" notre partie d'univers a put naître de plusieurs inflations antérieures, éloignant notre "bulle" propre très loin du Big Bang initial. Pour des raisons pratiques on peut considérer le moment de la création de chacune de ces bulles comme autant de Big Bang. Dans cette perspective l'inflation ne fait pas partie de la théorie du Big Bang comme on l'imaginait dans les années 1980. Aujourd'hui le Big Bang fait partie de la théorie inflationnaire.

Si les physiciens veulent être plus curieux, au lieu de simuler des champs scalaires n'ayant qu'un minimum d'énergie potentielle, ils doivent considérer des modèles plus réalistes constitués de plusieurs champs scalaires. Pour unir les interactions électrofaibles et fortes par exemple il faut tenir compte d'au moins deux champs scalaires supplémentaires, chacun pouvant présenter plusieurs minima. Cette condition signifie physiquement qu'une même théorie peut avoir plusieurs états du vide différents correspondant chacun à une brisure de symétrie particulière des interactions. Par conséquent elles donneront autant de lois physiques différentes aux basses énergies (celle du monde actuel) qu'il y a de brisures, les interactions à haute énergie ne dépendant pas des brisures de symétrie.

Si l'on tient compte de telles conditions, l'univers inflationnaire a pu donner naissance à des domaines extrêmement étendus ayant chacun des lois physiques particulières à basse énergie. Mais même si le grand Univers ne présentait initialement qu'un seul état vide, cette théorie s'appliquerait malgré tout. En effet des grandes fluctuations quantiques peuvent forcer les champs scalaires à sauter en-dehors de leur minima par effet tunnel même en l'absence de barrière de potentiel, un peu comme si la balle parvenait seule à descendre de la colline. Dans certains modèles inflationnaires ces fluctuations quantiques sont si importantes qu'elles modifient même le nombre de dimensions de l'espace.

Cette éventualité à des implications sur l'origine de notre univers. Si cette théorie est correcte, selon Linde la physique seule ne pourra jamais expliquer toutes les propriétés de l'univers. Si la même théorie donne aux différentes parties de l'univers des propriétés physiques différentes, notre domaine à quatre dimensions dans lesquelles président les lois que nous connaissons ne dépend pas de sa probabilité ou improbabailité d'existence mais du fait que la vie ne pourrait pas se développer dans les autres domaines, c'est le principe anthropique. Linde considère qu'il faut inclure la nature de notre conscience si nous voulons comprendre l'Univers. Cette conclusion est l'une des plus inattendues des récents développements en cosmologie inflationnaire. Mais tous les chercheurs ne partagent pas les idées philosophiques d'Andrei Linde. (...,...,...) suite sur site -

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......................................... Théorie des Branes, théories des cordes, super cordes / Théorie M
...................... A lire sur le site ....

........................................  https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_M

........................................  http://www.futura-sciences.com/sciences/definitions/physique-theorie-cordes-4472/

........................................  http://guydoyen.fr/2014/01/16/theorie-m-bienvenue-dans-la-11eme-dimension/

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...............................................................................  http://www.atlantico.fr/decryptage/et-big-bang-existait-pas-equation-qui-dit-que-univers-pas-commencement-aurelien-barrau-2001004.html

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Et si le Big Bang n’existait pas ? L’équation qui dit que l’univers n’a pas de commencement

La relativité générale, l'une des théories scientifiques les plus édifiantes du XXème siècle, demeure confrontée à plusieurs limites. Parmi elles, le Big Bang, que les mathématiques n'arrivent toujours pas à apprécier. Et des chercheurs ont récemment trouvé comment rendre nos modèles cohérents : imaginer que l'univers a toujours existé.

Pathologie mathématique

Publié le 

image: http://www.atlantico.fr/sites/atlantico.fr/files/styles/une/public/images/2014/04/trou.jpg

Et si le Big Bang n’existait pas ? L’équation qui dit que l’univers n’a pas de commencement

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Atlantico : Deux équipes de chercheurs égyptiens ont récemment montré dans une publication (Physics Letters B) que la limite constituée par le Big Bang dans la relativité générale d'Einstein pouvait être dépassée grâce à une nouvelle équation quantique. En effet, pour certains scientifiques, les modèles mathématiques ne réussiraient pas à saisir le Big Bang en lui-même, mais uniquement les fractions de secondes qui ont suivi. Cette équation impliquerait également que le Big Bang ne soit pas l'origine de l'univers.

 

 

En quoi consiste cette équation exactement ?

Aurélien Barrau : Il faut d’abord préciser que le fait que le Big Bang ne soit plus l’origine de l’Univers mais qu’il puisse exister une phase en amont de celui-ci est loin d’être une idée nouvelle.

C’est en effet une prédiction que l’on trouve dans pratiquement toutes les théories de gravitation quantique qui tentent de prolonger la relativité générale d'Eintsein. Et pour cause : au sens strict, le Big Bang est une "pathologie" mathématique, il correspond à une défaillance de la théorie classique. Dès lors que que le modèle est raffiné en tenant compte de la physique quantique, une des premières exigences consiste précisément à vérifier que le "problème" du Big Bang est résolu. Rien d’étonnant donc à ce que dans cette étude le Big Bang disparaisse, c’est un résultat attendu.

Dans l’approche de la gravitation quantique à boucles, par exemple, une théorie mature qui jouit maintenant de 25 années de travail acharné, le scénario cosmologique est aujourd’hui assez clair et très largement étudié. Le Big Bang, là aussi, est remplacé par un Big Bounce, un grand rebond. Il y aurait donc une phase de contraction qui aurait précédé l’actuel phase d’expansion.

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................ Autre site a voir sur place ...

............................ http://philoscience.over-blog.com/page/9

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........................................................ http://www.alterinfo.net/La-theorie-du-Big-Bang-demontee-par-33-scientifiques-de-haut-niveau_a61883.html

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La théorie du Big Bang démontée par 33 scientifiques de haut niveau

 

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rense.com

Mercredi 3 Août 2011

 

image: http://www.alterinfo.net/photo/art/default/3176321-4541906.jpg?v=1312379244

La théorie du Big Bang démontée par 33 scientifiques de haut niveau

 

Nous avons traduit ici cet article remettant en cause la théorie de la création de l’univers prévalente: celle du Big Bang. 
Au delà de la validité scientifique de la théorie du Big Bang et des théories alternatives, il semble une fois de plus que la science, en tout cas le processus scientifique même, a été une fois de plus détourné par des intérêts particuliers. Tout comme la science tronquée entourant les hypothèse érigées en dogme par des scientifiques politisés du réchauffement climatique anthropique, hypothèse désavouée depuis 2009 ou autre exemple l’hypothèse de l’origine biotique (« fossile ») du pétrole que nous avons longuement évoquée sur ce blog et qui ne semble avoir aucun fondement scientifique, la théorie cosmologique du Big Bang semble avoir été érigé en un dogme indiscutable que ses gardiens défendent becs et ongles… pour des intérêts financiers évidents. 
Le fait est de constater que la science a été kidnappée et qu’il est de plus en plus difficile de croire des scientifiques qui ont reniés les méthodes la plus élémentaire de recherche scientifique, tel semble encore être le cas avec la théorie du Big Bang… 
Scientifiques ! Sortez du carcan corporatiste et l’illusion du profit. C’est pour l’humanité que vous travaillez, pas pour une « élite » arrogante auto-proclamée. 
– Résistance 71 – 
La théorie du Big Bang démontée par 33 scientifiques de haut niveau 
Nos idées à propos de l’histoire de l’univers sont dominées par la théorie du big bang. Mais cette dominance a plus à faire avec une histoire de financement que de méthode scientifique, d’après Eric Lerner, le mathématicien Michael Ibison d’Earthtech.org et de douzaines d’autres scientifiques à travers le monde. 
  
Une lettre ouverte à la communauté scientifique 
Cosmology Statement.org (Published in New Scientist, May 22-28 issue, 2004, p. 20) 
http://www.rense.com/general53/bbng.htm 
 ~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~ 
  
Aujourd’hui, la théorie du big bang dépend d’un nombre croissant d’entités hypothétiques, de choses que nous n’avons jamais observées, l’expansion, la matière noire, l’énergie noire en sont les meilleurs exemples. Sans elles, il y aurait une contradiction fatale entre les observations faites par les astronomes et les prédictions de la théorie du big bang. 
Dans aucun autre domaine de la physique ne serait accepté ce recours perpétuel à de nouvelles hypothèses acceptées afin de connecter le fossé entre la théorie et l’observation. Ceci produirait au moins DE SERIEUSES QUESTIONS A PROPOS DE LA VALIDITE DE LA THEORIE SOUS-JACENTE. 
Mais la théorie du big bang ne peut pas survivre sans ces facteurs correctifs. Sans l’hypothèse du champ d’expansion, le big bang ne prévoit pas le fond de radiation  isotropique cosmique qui est observé, parce qu’il n’y aurait aucun moyen pour des parties de l’univers qui sont maintenant éloignés de juste quelques degrés dans le ciel d’être à la même température et ainsi d’émettre la même quantité de radiation micro-onde. 
Sans une certaine forme de matière noire, à l’encontre de ce que nous avons observé sur terre malgré 20 années d’expériences, la théorie du big bang établit des prédictions contradictoires concernant la densité de la matière dans l’univers. L’expansion demande une densité 20 fois supérieure à celle qui serait impliquée dans la nucléo-synthèse du big bang, qui constitue l’explication par la théorie de l’origine des éléments de lumière. Et sans énergie noire, la théorie prédit que l’univers ne serait vieux que de 8 milliards d’années, ce qui est des milliards d’années plus jeune que beaucoup d’étoiles dans notre galaxie. 
De plus, la théorie du big bang ne peut donner aucune prédictions quantitatives qui auraient été vérifiées ensuite par l’observation. Les succès clâmés par les supporteurs de la théorie consiste en l’habileté à faire conïncider rétrospectivement des observations avec un nombre augmentant sans cesse de paramètres ajustables, de la même façon dont la vieille cosmologie de Ptolémée qui voyait la Terre comme centre de l’univers, avait besoin de plusieurs couches d’épicycles. 
De fait la théorie du big bang n’est pas le seul système à disposition pour comprendre l’histoire de l’univers. La cosmologie plasmique et le modèle d’univers constant tous deux font l’hypothèse d’un univers évoluant sans début ni fin. Celles-ci ainsi que d’autres approches alternatives peuvent aussi expliquer les phénomènes de base du cosmos, incluant l’abondance des éléments de lumière, la création de structure à grande échelle, le fond de radiation cosmique et comment le redshift des galaxies très lointaines augmentent avec la distance. Elles ont même prédit de nouveaux phénomènes qui ont été depuis observés, chose que la théorie du big bang n’a pas réussi à faire. 
Les supporteurs de la théorie du big bang pourront toujours rétorquer que ces théories n’expliquent toujours pas toutes les observations cosmologiques. Mais cela n’est guère surprenant dans la mesure où leur développement a complètement été bloqué par un manque de fonds. En fait, ces questions et alternatives ne peuvent même pas être discutées et examinées librement. Un échange ouvert d’idées est totalement inexistant dans la vaste majorité des conférences connues. 
Là où Richard Feynman aurait pu dire que “la science est la culture du doute”, dans le monde de la cosmologie aujourd’hui, le doute et la dissidence ne sont absolument pas tolérés; ainsi de jeunes scientifiques apprennent à rester silencieux s’ils ont quelque chose de négatif à dire à propos du modèle standard du big bang. Ceux qui doutent de la théorie du big bang ne veulent le dire de peur que cela ne leur coûte leurs fonds de recherche. 
Même les observations sont maintenant interprêtées à travers ce filtre biaisé et jugées justes ou fausses en fonction de si elles supportent la théorie du big bang ou pas. Il y a beaucoup de données contradictoires sur le redshift,, les abondances de lithium et d’hélium, la distribution des galaxies, entr’autres sujets, qui sont soit ignorées, soit tournées en ridicule. Ceci est le reflet d’une mentalité dogmatique croissante qui est totalement étrangère à l’esprit de la recherche scientifique libre. 
De nos jours, virtuellement toutes les ressources financières et expérimentales en cosmologie sont dévouées aux études et la recherche sur le big bang. Le financement ne provient que de sources réduites et tous les comités de révision des pairs qui contrôlent le financement sont dominés par les adeptes de la théorie du big bang. De fait, la dominance du big bang au sein de cette communauté est devenue auto-suffisante et ce quelque soit la validité scientifique de la théorie. 
Ne donner un soutien qu’à des projets qui sont dans le cadre de travail de la théorie du big bang diminue un élément fondamental de la méthode scientifique: soumettre constamment la théorie à l’observation. Ce type de restriction rend impossible une recherche et une discussion impartiale. Afin de corriger ce défaut, nous implorons les agences qui disposent des fonds pour la recherche en cosmologie de réserver une bonne partie des fonds aloués pour la recherche dans les théories alternatives et les observations contradictoires au big bang. Pour éviter toute partialité, les comités de révision qui alouent ces fonds de recherche pourraient être composés d’astronomes et de physiciens résidant en dehors de la cosmologie. 
Donner des fonds de recherche pour étudier la validité de la théorie du big bang et des théories alternatives permettrait au processus scientifique de déterminer notre modèle le plus précis concernant l’histoire de l’univers. (...,...,... suite sur e site, ..... )

................. Conférence a voir sur la négation du temps ...

.................................. https://www.youtube.com/watch?v=9BEAGS5TnDY

.......... Article ............ http://www.astrosurf.com/luxorion/temps-nexistepas2.htm

............................. La réponse à toutes les questions en astronomie, y compris concernant la théorie unificatric des sciences vient de la force de gravité ... que sait-on sur elle ?                  . .................................................................................................

QUE SAIT ON DE LA FORCE DE GRAVITE ?

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. Extrait site origine-

http://www.cerimes.fr/e_doc/forces/gravitation.htm

L'interaction gravitationnelle

La gravitation est la seule interaction fondamentale dont la sensation est directe et permanente, par l'intermédiaire de son effet le plus immédiat dans notre environnement : la pesanteur, c'est à dire le poids des corps matériels. C'est pourquoi la gravitation est la première interaction fondamentale à avoir été décrite mathématiquement.

Historique

En 1687, Isaac Newton publia ses Principes Mathématiques de Philosophie Naturelle. Dans ce livre, Newton émet une hypothèse géniale mais très risquée: la Lune tombe sur la Terre comme une pomme ou n'importe quel objet, mais la vitesse initiale de la Lune (perpendiculaire à la direction Terre-Lune) fait que la trajectoire finale de la Lune est une courbe fermée autour de la Terre. Il a ainsi montré que deux effets apparemment très différents (la pesanteur et le mouvement des corps célestes) sont en fait le résultat d'une seule et même cause: la gravitation universelle, dont il énonce la loi (proportionnelle au produit des masses et inversement proportionnelle au carré de la distance). En même temps, il définit le concept moderne de force, il énonce les lois du mouvement, et notamment le principe d'inertie, et il introduit la notion d'interaction à distance ! En particulier, cette dernière notion était très audacieuse car elle semblait fortement empreinte de magie pour bon nombre de scientifiques de l'époque, qui s'y sont fortement opposés.

La loi de la gravitation universelle de Newton est toujours utilisée pour calculer les effets de la gravitation dans des situations normales : le champ gravitationnel créé par une masse M (en kg) située à une distance d (en m) est donné par :

G=6,67.10-11 M/d2

La force d'attraction subie par une masse m (en kg) est alors:

F=mG

C'est pour cela que les masses des objets utilisées dans ces équations sont parfois nommées ``masses graves''.

Néanmoins, la loi de Newton n'est qu'une approximation d'une théorie plus fondamentale. En effet, au début du siècle, certains désaccords très faibles furent découverts entre des observations astronomiques et les prédictions de cette loi. De plus, cette loi suppose une interaction à distance instantanée, en désaccord total avec les lois de la relativité restreinte, énoncées en 1905 par Albert Einstein.

En 1915, Einstein révolutionna la physique en élaborant la théorie de la relativité générale, description de la gravitation qui tient compte des lois de la relativité restreinte. Depuis longtemps on avait remarqué que ``masse inerte'' et ``masse grave'' étaient égales, ce qui a priori n'est pas évident. Ainsi, si on écrit l'équation de la dynamique avec une force de gravitation, on obtient ma=mG, soit a=G. Le mouvement d'un objet soumis seulement à une interaction gravitationnelle devient donc indépendant de la masse de l'objet, et donc aussi de sa nature. De plus, on voit que le champ gravitationnel est identique à une accélération : il est impossible de faire la différence entre une accélération constante et un champ gravitationnel, c'est le principe d'équivalence sur lequel Einstein basa sa nouvelle théorie de la gravitation.

A l'heure actuelle, la relativité générale est la seule théorie capable de décrire tous les effets gravitationnels observés. De plus, jusqu'à présent, aucune observation n'est restée inexpliquée. Mais, la relativité générale présente le gros défaut de ne pas être une théorie quantique, et donc de ne pas être applicable à très petite échelle. Ce n'est pas un problème pour les expériences actuelles car, aux petites échelles que nous pouvons atteindre, les effets des trois autres interactions fondamentales sont largement dominants. Mais dans le futur, à mesure que la physique pourra explorer des échelles encore plus petites, il deviendra indispensable d'élaborer une nouvelle théorie quantique de la gravitation...

Caractéristiques

L'effet de la gravitation est toujours attractif. Son effet est extrêmement faible (c'est la plus faible des quatre interactions fondamentales) entre les objets ayant une échelle humaine. Par exemple, la force d'attraction gravitationnelle entre deux personnes de 80 kg situées à une distance d'1 m est F=4.10-7 N soit la même force que le poids d'un objet de 0,00004 g à la surface de la Terre !

La gravitation s'applique à toute forme d'énergie, la masse étant une forme particulière d'énergie, selon la relation bien connue E=mc2. Ainsi, même une particule de masse nulle comme le photon subit la gravitation, c'est le résultat du principe d'équivalence. Contrairement au sens commun, la lumière est donc aussi déviée par les objets massifs, ce qui fut vérifié pour la première fois lors de l'éclipse de Soleil de 1919 et qui confirma de manière éclatante les prédictions de la relativité générale.

Paradoxalement, dans le cadre de la relativité générale, la gravitation n'est pas une force ou une interaction ! Dans cette description, qui est purement géométrique, toute forme d'énergie courbe l'espace-temps. Ensuite, les corps se déplacent dans cet espace-temps sans subir de force en suivant des géodesiques, équivalent de la ligne droite dans un espace non courbe. Le mouvement de ces corps semble donc courbe alors qu'en fait c'est l'espace-temps qui l'est ! Il n'y a donc aucune interaction entre les corps eux-mêmes (par exemple entre la Terre et la Lune), il n'y a qu'une action des corps sur la structure de l'espace-temps (la Terre et la Lune déforment l'espace-temps)... Il est assez facile de se représenter la courbure de l'espace-temps comme la déformation d'un drap tendu sur lequel on a posé une bille lourde. Si on fait passer une bille plus légère à proximité de la première, elle sera déviée à cause du creux dans le drap, bien qu'il n'y ait aucune interaction entre les deux billes. Sauf que le drap n'a que deux dimensions, alors que l'espace-temps en a quatre !

 

La relativité générale n'étant pas une théorie quantique, elle ne suppose pas l'existence d'une particule vecteur de la gravitation. Mais, comme les physiciens sont persuadés que la gravitation est une interaction fondamentale et qu'elle aura un jour sa théorie quantique, ils ont déjà baptisé graviton la particule responsable de la gravitation (si elle existe !) et imaginent des expériences qui permettraient de la découvrir.

Manifestations courantes

La manifestation la plus courante de la gravité est bien sûr la pesanteur, c'est à dire l'attraction entre la Terre et les objets qui sont à proximité. A partir de la formule de Newton, on peut calculer le champ gravitationnel à la surface de la Terre, c'est à dire à une distance de 6400 km d'un objet de 6.1024 kg. Le résultat est g=9,8 m.s-2, valeur bien connue qui permet de calculer le poids d'un objet à la surface de la Terre.

La pesanteur est un phénomène extrêmement important pour la vie courante. En effet, c'est grâce à lui qu'il est possible de définir le haut et le bas. En absence de champ gravitationnel suffisamment intense, il est impossible de définir ces directions : tout le monde a vu un jour ou l'autre à la télévision des spationautes flottant dans la cabine de leur vaisseau spatial la ``tête en bas''...

Ceux qui ont toujours rêvé de voler peuvent penser que la pesanteur est un phénomène bien inutile et contraignant. Mais c'est grâce à la pesanteur qu'ils existent. En effet, si la Terre n'attirait pas les corps matériels à elle,l'atmosphère se serait depuis longtemps dissipée dans le vide inter-planétaire. Et sans atmosphère, la vie ne serait pas apparue sur Terre... La Lune, beaucoup plus légère que la Terre ne produit pas un champ gravitationnnel suffisant pour retenir les gaz, c'est pourquoi elle n'a pas d'atmosphère.

Une autre manifestation courante de la gravitation est évidemment le mouvement des étoiles et des planètes, et notamment le mouvement du système Terre-Lune. Contrairement à la conception la plus répandue, la Lune ne tourne pas autour de la Terre : en fait la Terre et la Lune tournent ensemble autour d'un point central, qui est le centre de gravité du système Terre-Lune. La gravitation est responsable de cette liaison mais aussi d'une conséquence très courante de cette liaison : les marées. Ainsi, la Lune attire l'eau des océans dans la direction du côté exposé à la Lune, parce que la masse totale des océans est très grande. Mais comme la Terre tourne autour du centre de gravité Terre-Lune, la force centrifuge rejette l'eau des océans à l'opposé du côté exposé à la Lune. Ce sont ces deux phénomènes (attraction gravitationnelle de la Lune, force centrifuge) qui sont responsables des marées.

Autre manifestation peut-être moins courante mais tout aussi primordiale : la formation des galaxies, étoiles, planètes, etc... C'est en effet grâce à la gravitation que les immenses nuages d'hydrogène créés lors du Big Bang se sont contractés (par attraction mutuelle du nuage sur lui-même), jusqu'à former des galaxies, puis des étoiles puis plus tard des systèmes planétaires comme le système solaire. C'est aussi par contraction gravitationnelle que les étoiles se contractent suffisamment pour allumer en leur coeur des réactions nucléaires et donc de rayonner de l'énergie. C'est donc en partie grâce à la gravitation que le Soleil brille.(...,...,... )

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...................... https://sciencetonnante.wordpress.com/2011/06/06/la-gravite-une-force-emergente-dorigine-entropique/

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;....................  https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/physique-preuve-nouvelles-theories-gravitation-13085/

Une preuve pour les nouvelles théories de la gravitation ?

ACTUALITÉClassé sous :PHYSIQUE , GRAVITATION QUANTIQUE , LQG

 

En étudiant en 2005 la galaxie Markarian 501, les astrophysiciens ont fait une bien curieuse découverte : des photons semblent se déplacer à des vitesses différentes ! Selon les plus audacieux d'entre-eux, il pourrait s'agir d'une des toutes premières preuves en faveur de certaines théories de gravitation quantique comme la Loop Quantum Gravity ou la théorie des supercordes.

Le télescope à rayon gamma Magic sur l'île de La Palma. Crédit : collaboration Magic

Le télescope à rayon gamma Magic sur l'île de La Palma. Crédit : collaboration Magic 

L'astrophysique des hautes énergies ne cesse de se développer depuis quelques années. Certains phénomènes en physique des particules élémentaires sont en effet difficilement observables sur Terre, voire pas du tout. Heureusement, l'Univers réalise pour nous les plus grandes expériences de physique de tous les temps, que ce soit avec le Big Bang lui-même ou avec des objets astrophysiques mystérieux mais fascinants : les noyaux actifs de galaxies ou AGN.

On pense actuellement que les noyaux actifs de galaxies, dont les plus spectaculaires sont les célèbres quasars, sont en fait de gigantesques trous noirs de Kerr en rotation entourés par un disque de gaz et de poussières spiralant en direction de l'horizon de ce dernier. Des processus fort complexes de magnétohydrodynamique relativiste se produisent alors, et une partie de l'énergie gravitationnelle associée à la chute de la matière sur le trou noir, ainsi que l'énergie cinétique de rotation de celui-ci, se trouvent converties en faisceaux de particules très énergétiques et en radiations lumineuses. En particulier, des rayons gamma possédant une énergie de quelques Tev (téra elctronVolts) sont produits. En arrivant dans les hautes couches de l'atmosphère terrestre, ils sont convertis en gerbes de particules élémentaires lesquelles, à leur tour, s'accompagnent d'un rayonnement particulier appelé rayonnement Tcherenkov. En mesurant celui-ci au sol, on peut remonter aux caractéristiques précises des photons gamma. C'est ce que font des télescopesgamma terrestres comme Hess en Namibie et Magic sur l'île de La Palma aux Canaries.

Des photons qui semblent ne pas voyager à la vitesse de la lumière

Or, au milieu de l'année 2005, alors que l'équipe de scientifiques utilisant Magic étudiait l'AGN de la galaxie Markarian 501 située à environ 700 millions d'années-lumière, deux flashs gamma correspondant à de véritables éruptions dans une zone très proche du trou noir central furent  enregistrés. La taille de la  région d'où sont originaires ces éruptions ne semble pas excéder la distance que parcourt la lumière en trois secondes et chacune d'entre elles a produit des photons gamma dont les énergies s'échelonnent entre 100 Gev et 10 Tev, et ce, pendant un temps estimé à 2 minutes à peu près. Là où les choses commencent à devenir très intéressantes, c'est que les photons gamma les plus énergétiques sont arrivés sur Terre avec 4 minutes de retard environ sur les moins énergétiques !

Ce décalage ne semble pas avoir d'explication dans le cadre de la physique établie et des modèles des noyaux actifs de galaxies. Mais comme la théorie des AGN reste approximative, il n'est pas non plus exclu qu'une compréhension un peu plus fine de la physique des plasmasautour d'un trou noir de quelques millions à quelques milliards de masses solaires ne fournisse une explication naturelle.

Beaucoup pensent donc qu'avant de faire intervenir des hypothèses plus exotiques, il serait plus sage d'attendre que les observations et les modèles se perfectionnent. D'ailleurs, l'échelle de temps des éruptions et celle des décalages observés sont quasiment identiques.

On pourrait très bien imaginer un processus classique aux abords du trou noir conduisant à un piégeage temporaire des rayons gamma les plus énergétiques. On sait bien, par exemple, que les photons produits au cœur du Soleil mettent un million d'années pour en sortir, à cause de chocs successifs avec la matière solaire, alors que les neutrinos faiblement couplés à cette dernière quittent la surface solaire presque instantanément.

John Ellis dans la salle de prise de données du détecteur Auger en Argentine (Crédit : John Ellis).

John Ellis dans la salle de prise de données du détecteur Auger en Argentine (Crédit : John Ellis). 

Prévu par des théories non conventionnelles

Seulement voilà, il y a dix ans, les théoriciens John Ellis, Nick Mavromatos et leur collègue Dimitri Nanopoulos, en utilisant la théorie des cordes, avaient prédit que le jour où la sensibilité des télescopes gamma aurait atteint un niveau suffisant, des phénomènes comme ceux de Markarian 501 seraient observés.

Simultanément, une des théories alternatives de la gravitation quantique, la théorie de gravitation quantique à boucles ou en anglais la Loop Quantum Gravity, avait fourni des prédictions similaires comme l'avait souligné fortement Giovanni Amelino-Camelia. Une publication conjointe avait d'ailleurs été faite par ces théoriciens, pour qui l'expression « gravitation quantique expérimentale» ne devait pas nécessairement être condamnée à n'être qu'un oxymoron, tellement les différents phénomènes prédits par les spéculations des théoriciens semblaient devoir être à tout jamais inaccessibles aux observations et à l'expérimentation, en raison des incroyables énergies nécessaires pour les produire en laboratoire.

Giovanni Amelino-Camelia (Crédit : Institute for Gravitational Physics and Geometry at The Pennsylvania State University).

Giovanni Amelino-Camelia (Crédit : Institute for Gravitational Physics and Geometry at The Pennsylvania State University). 

Espace-temps en ébullition

En tout premier lieu, il faut bien garder à l'esprit que le tissu de l'espace-temps peut être considéré comme un milieu élastique et déformable comme Einstein nous l'a appris. Sa structure même impose des limites à la façon dont des signaux peuvent se déplacer dans l'Univers, qu'ils soient constitués par des particules sans masse comme le photon et le graviton ou au contraire massives comme les protons et les neutrinos. Ce qui veut dire que si sa structure change, le comportement  des particules précédentes, et surtout la façon dont elles peuvent se déplacer dans l'Univers, pourront être affectés.

En particulier, John Wheeler et Stephen Hawking ont défendu depuis longtemps l'idée qu'en raison des lois de la mécanique quantique, si l'espace-temps semble lisse et calme à notre échelle, il n'en est pas de même lorsqu'on le considère à des échelles de distances bien plus petites qu'un milliardième de la taille d'un noyau d'atome. Si l'on se donne une image de fluide pour décrire ce qui se passe à une échelle de 10-35 m, la longueur de Planck, on obtient celle d'un liquide en ébullition, très turbulent. Les lois de la gravitation quantique impliquent en effet alors une structure très similaire à celle de l'écume d'une vague se brisant sur un rocher. C'est ce que John Wheeler a justement baptisé en anglais la « foam like structure » de l'espace-temps. 

 

La structure en écume de l'espace-temps (Crédit : Brian Greene/Nova)

La structure en écume de l'espace-temps (Crédit : Brian Greene/Nova) 

L'apparition de ce phénomène n'est pas difficile à comprendre si l'on se rappelle que d'après les lois de la théorie quantique des champs l'espace est continuellement agité par la formation et la disparition de particules virtuelles de toutes sortes. Une théorie quantique du champ de gravitation doit donc elle aussi conduire à des fluctuations quantiques violentes, mais transitoires, de la structure de l'espace-temps avec apparition temporaire de trous de vers et de trous noirs virtuels.

Or, plus un photon est énergétique, plus sa longueur d'onde est courte. Ce qui veut dire qu'il sera d'autant plus sujet à être affecté par la structure microscopique de l'espace-temps. Plus cette longueur sera courte, plus les fluctuations conduisant à l'apparition de mini trous noirs virtuels modifieront sa trajectoire dans l'espace-temps. Un phénomène analogue peut d'ailleurs être observé à l'occasion d'une éclipse, on voit alors facilement que le champ de gravitation du Soleil dévie la lumière des étoiles. En zoomant sur une trajectoire apparemment rectiligne à l'échelle de l'atome, on verra plutôt en fait une courbe irrégulière avec de nombreuses inflexions. Ce qui fait que la longueur réelle parcourue par le photon sera plus longue que celle naïvement estimée en première approximation.

L'effet est bien sûr extrêmement faible mais il augmente avec l'énergie des photons, et surtout, lorsque l'on considère des distances cosmologiques dépassant les centaines de millions d'années-lumière.

Au final, les photons émis simultanément par une source à l'autre bout de l'Univers ne devraient pas arriver en même temps dans des détecteurs sur Terre. La question qui se pose est donc alors la suivante : quelle sera la valeur du décalage temporel en fonction de la distance et de l'énergie des photons ?

A droite de John Ellis, Nick Mavromatos (Crédit : John Ellis).

A droite de John Ellis, Nick Mavromatos (Crédit : John Ellis). 

En utilisant la théorie de cordes, et plus précisément ses prolongements faisant intervenir ce qu'on appelle des D-branes, John Ellis et ses collègues avaient alors entrepris d'étudier d'un peu plus près la structure en écume de l'espace-temps. De façon intéressante, les D-branes que l'on peut décrire par des sortes de surfaces dans l'espace-temps, peuvent conduire à une structure cellulaire, rappelant un peu celle d'un réseau cristallin, pour la structure de l'espace-temps lorsque les effets de la gravitation quantique deviennent dominants.

Une structure discrète semble alors émerger dans certains cas, exactement comme le prédisent les théoriciens de la Loop Quantum Gravity. Les deux approches sont donc peut-être complémentaires pour décrire l'effet de la structure quantique de l'espace-temps sur la propagation des photons. De fait, ces deux approches pour la gravitation quantique que sont la théorie des cordes et la LQG, conduisent à des formules similaires pour décrire cet effet.

Ne nous y trompons pas, les calculs restent encore approximatifs. Mais si l'on note E l'énergie des photons, Ep celle de l'énergie caractéristique à laquelle les effets de la gravitation quantique doivent devenir dominants, alors on trouve pour la vitesse effective v des photons dans le cadre de la théorie des cordes la formule suivante :

                                             vc [1- (E/Ep)n]

Et, dans le cadre de la LQG :

                                             vc [1+alpha(E/Ep)n]

Précisons que n est un paramètre entier mais libre dans les deux cas.

Si dans le cadre de la théorie des cordes la vitesse de photons, ou d'autres particules, reste toujours subluminique et inférieure à c, il n'en est pas nécessairement de même en LQG à cause du paramètre alpha qui peut désigner aussi bien un signe - qu'un signe +. Dans l'état actuel des choses, la LQG autorise donc certains effets supraluminiques.

La forme des relations précédentes n'est pas nouvelle en physique. Elle se rencontre fréquemment en physique des ondes : il s'agit de relations de dispersions.

Bien plus, cela décrit simplement un milieu d'indice variable comme un morceau de verre ou un plasma. On comprend donc bien que le phénomène observé en liaison avec le trou noir central de MKN 501, faisant justement intervenir la physique des plasmas, pourrait fort bien s'expliquer sans faire appel à de la gravitation quantique. Bien évidemment, cette possibilité a été étudiée par les chercheurs mais elle ne semble pas être l'explication la plus probable.

D'après Nick Mavromatos du King's College à Londres " SI le résultat observé n'est pas lié directement aux caractéristiques de sa source...ce qui ne peut pas encore être affirmé avec certitude puisqu'une seule observation a été réalisée jusqu'ici..., alors celui-ci constituera la première détection positive de l'effet dispersif du vide. Dans le papier que nous avons publié nous avons donné des arguments contre une explication plus conventionnelle basée sur la physique des plasmas, mais comme nous le disons dans l'article, nous ne pouvons pas exclure qu'une autre explication, mais toujours liée à la source ne soit responsable du retard des photons au stade de l'émission... Pour être sûr que cet effet soit bien une signature de gravitation quantique, il doit être observé à nouveau pour d'autres sources, en particulier des sursauts gamma. C'est seulement lorsqu'un nombre important de cas aura été observé et que la statistique sera devenue suffisante, que l'on pourra séparer ce qui est lié à la source elle-même et ce qui n'y est pas. » (...,...,...)

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........................ Théorie du champ unifié -

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............................................. https://www.youtube.com/watch?v=-J-4oVXU6sg

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"La physique théorique a porté une attention considérable à la façon dont les nombreux et divers phénomènes de l'Univers apparaissent comme les manifestations d'un même tout sous-jacent. Einstein avait non seulement montré que l'espace et le temps n'étaient qu'un mais que les forces électriques et magnétiques ainsi que l'énergie et la matière l'étaient également : sa fameuse équation E=mc2. Il passa les dernières années de sa vie à chercher une unité plus grande encore, une Théorie du champ unifié qui montrerait que les quatre forces fondamentales de la physique (gravité, force électro-magnétique et les forces nucléaires, soi disant "faibles" et "fortes") ne sont que les manifestations d'un principe unique. En dépit des années qu'il a consacrées à ce problème, le Champ Unifié a toujours échappé à ses recherches. 

Cependant, des travaux ultérieurs en physique ont montré que son pressentiment était probablement juste. La "Théorie Gauge" suggère que les quatre forces fondamentales de l'Univers physique pourraient en effet être considérées comme des manifestations d'un processus unique.

Une autre découverte de la physique moderne suggère que nous pourrions nous tromper en considérant les particules atomiques comme des entités distinctes. La notion de séparatibilité est pratique au niveau de la vie quotidienne et a été dans le passé un modèle valable pour comprendre la structure atomique mais ce n'est pas forcément l'ultime vérité. Au niveau le plus fondamental il semble qu'il n'y ait que des modèles d'énergie qui donnent naissance à une "apparence" de particules séparées. Cette suggestion implique que nous sommes tous intrinsèquement tissés dans la trame de l'Univers et interconnectés à bien des égards même si nous semblons physiquement séparés.

Une approche visant à comprendre cette interconnexion a été émise par David Bohm, un physicien britannique. Il a introduit la notion "d'ordre impliqué". Si l'ordre expliqué est l'Univers que l'on voit autour de nous (le monde de cause à effet décrit par les diverses lois de la physique), l'ordre impliqué est un niveau d'ordre non perceptible par les sens, ni par aucun appareillage physique. Au niveau de l'ordre impliqué, chaque partie de l'Univers contient l'Univers dans son ensemble.

On peut trouver une analogie avec l'hologramme.

Dans une photo normale, chaque point de la photo est une partie particulière de l'image et pour qu'on puisse voir l'image correctement tous les points doivent être dans la position correcte. Par contre, dans un hologramme, chaque point de la plaque photographique contient les informations de l'image entière. Chaque partie de l'image est encodée dans toutes les parties de la plaque. En regardant l'hologramme à l'oeil nu, on ne voit rien d 'autre que des sortes de vagues mais quand un type particulier de lumière est dirigé à travers la plaque, on voit apparaître une image et elle sort de la plaque comme une image en trois dimensions. Du fait que chaque région de la plaque contient de l'information sur toute l'image, elle peut donner naissance à l'image entière. En ce sens, l'image est enveloppée à travers toute la plaque. 

La Théorie de l'ordre impliqué suppose que l'Univers physique pourrait être comme un hologramme et que l'ensemble de l'espace et du temps serait en quelque sorte codé dans chaque partie de lui-même. Cet ordre impliqué n'est jamais perçu directement. Ce que nous voyons est l'ordre expliqué, des formes spécifiques qui sont générées à partir de l'ordre impliqué sous-jacent. Finalement conclut david Bohm, l'Univers doit être considéré comme un seul ensemble indivisible dans lequel des parties séparées et indépendantes n'ont pas de statut fondamental. "

Peter Russel.

Date de dernière mise à jour : 27/02/2023

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