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CAPITALISME DE CONNIVENCE

SCANDALE   DU   CAPITALISME   DE   CONNIVENCE

_____LIBERTE // EGALITE // CHOUCROUTE_____

Les copains d'abord ! Les autres ?

On "s'en bat-les-cou----s"

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Capitalisme de connivence - Contrepoints

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La république Française promet...  Liberté, Egalité, Fraternité.

C'est un peu le pacte de base ! ? ...  LE pilier du pacte républicain.   Est-ce le cas ?

Je n'y crois pas le moins du monde et j'ai longtemps voulu comprendre comment fonctionne le trucage des règles du jeu social malgré toutes les protections apparentes du système dit "républicain" ?

Mon blog Enim-cerno , soutenu par des centaines de vidéos sur mon compte Tik-Tok en attestent par divers démonsatrations.

J'en fais le sujet sur mes republications.

Je vous donne RDV sur  le menu d'Enim-cerno ou tik tok du même nom.

Je propose ainsi diverses théories passant notamment par la notion politique de "stratégie de sujetion complexe" ou l'énoncé du "Manuel du pouvoir et du citoyen"

Sur le terrain économique, on a la suprématie sans contre pouvoir des banques dont je fais sujet dans mon article sur le chemin des "monarchies bancaires" d'échelle planétaire.

Mais je ne suis pas le seul à tenter d'expliquer ce phénomène oligarchique sournois.

Quelques théoriciens ou citoyens lambdas géniaux proposent aujourd'hui le concept de "capitalisme de connivence".

Cela m'intéresse !

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Voici quelques extraits d'articles tiers

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Le capitalisme de connivence (en anglais : crony capitalism) est un terme décrivant une économie capitaliste où le succès en affaires dépend de relations étroites avec les représentants du gouvernement ou des décideurs politiques. Il peut créer une forme de favoritisme dans l'attribution de permis légaux, de subventions gouvernementales, par l'attribution de marchés publics, de réduction d'impôts ou d'autres formes d'interventionnisme. Il apparaîtrait lorsque le copinage, ainsi que d'autres comportements égoïstes semblables, percole vers la politique et le gouvernement. Il peut également s'exprimer sous la forme de népotisme ou, à des stades plus avancés, toucher l'économie des services publics.

L'expression anglophone crony capitalism a créé un certain impact dans l'espace public lorsqu'elle a été utilisée pour expliquer la crise économique asiatique.

Dans certains contextes, le terme est un synonyme de corporate welfare (en).

Corentin de Salle le qualifie de pathologie du capitalisme.

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Carte du monde selon les données de Transparency International sur l'indice de perception de corruption (2010).

Sous ses formes les plus légères, le capitalisme de connivence mène à la tolérance ou à l'encouragement par le gouvernement de la collusion parmi des acteurs du marché, notamment pour faire une sorte de front commun lors de soumissions sur des contrats publics, des subventions, des législations, etc..

Certains de ces systèmes, tels les ligues de sport et le Medallion System des taxis de New York, sont formalisés, mais généralement, ils sont plus subtils, tels une augmentation du temps de stage et d'examens de certification pour rendre plus coûteuse l'insertion des nouveaux.

Dans les domaines technologiques, il peut s'exprimer sous la forme d'accusation de violation de brevets afin de décourager les compétiteurs.

En conséquence, les nouveaux venus sur un marché rencontrent des conditions difficiles d'insertion. Parfois, certains de ceux qui arrivent à percer le font grâce à une entente entretenant la limitation de l'arrivée de nouveaux joueurs.

On parle vraiment de capitalisme de connivence lorsque ces approches dominent l'économie entière ou la direction des plus grandes industries en place. On retrouve souvent des lois intentionnellement ambiguës dans de tels systèmes7 ainsi qu'une surrèglementation de l'Etat.

The Economist note les pays selon un indice nommé indice de capitalisme de connivence, calculé selon l'évaluation de l'activité économique d'industries connues pour prôner la connivence. En 2014, les endroits considérés les plus atteints sont Hong Kong, la Russie et la Malaisie.

La Thaïlande et l'Indonésie ont été les premiers États identifiés comme appliquant un capitalisme de connivence lors de la crise économique asiatique de 1997. Dans ces cas, le terme a été utilisé pour décrire comment les membres des familles des dirigeants sont devenus très riches sans justifications non politiques.

Hong Kong9, et la Malaisie10 ont également été ciblés, ainsi que d'autres États tels l'Inde, l'Argentine et la Grèce.

Le terme est également utilisé pour décrire les oligarques russes.

Plusieurs pays prospères ont présenté à un moment ou un autre de leur histoire un certain niveau de capitalisme de connivence. Tel est le cas notamment du Royaume-Uni, particulièrement lors du xviie siècle et du xviiie siècle, les États-Unis et le Japon.

En 2016, le juriste et auteur libéral belge, Drieu Godefridi, publie une opinion sur le site du magazine Le Vif dans laquelle il estime que l'indemnisation des coopérateurs d'ARCO pour un montant de 600 millions d'euros par l'État belge est du capitalisme de connivence16. Dans les faits, le gouvernement Leterme, dont le Premier ministre était Yves Leterme dans la coalition CD&V-MR-PS-cdH-Open VLD, a étendu la garantie bancaire de 100 000 euros aux 780 000 coopérateurs d'ARCO, en majorité flamands, à la suite de la défaillance de la banque belge Dexia, dont ARCO était l'un des principaux actionnaires et également le bras financier du Algemeen Christelijk Werknemersverbond (Mouvement ouvrier chrétien en Flandre) lié au parti politique CD&V17.

Corentin de Salle, Dr en philosophie et juriste met en exergue plusieurs exemples concrets de capitalisme de connivence :

L'État adopte des règlementations favorables à certaines entreprises (par exemple pour s’en faire des alliés relativement à une réforme qu’il veut faire passer).

L'État adopte des règlementations très contraignantes (en matière sociale, environnementale, etc.) pour toute entreprise, mais qui handicapent le développement voire menacent la survie des plus petites entreprises car elles sont financièrement moins solides que les grosses entreprises qui, souvent, ont suggéré à l’État d’adopter ces règlementations pour se débarrasser d’un nouveau concurrent.

L'État privilégie une filière (par exemple dans le domaine de l’énergie) au détriment de toutes les autres en raison d’une proximité idéologique.

L'État offre des garanties à un secteur (par exemple le secteur bancaire ou financier) qui ont pour effet d’inciter ce dernier à agir de manière imprudente voire carrément irresponsable. Ce qui pose problème avec de pareils établissements, ce n’est pas tant leur taille que le fait qu'ils doivent être soutenus par les pouvoirs publics et qu’ils jouissent d’une garantie étatique qui leur permet de faire à peu près n’importe quoi en vertu du principe « les bénéfices sont privatisés et les pertes sont collectivisées ».

L'État distribue des subsides, des incitants fiscaux, des avantages de toute nature qui vont motiver des entreprises à réorienter leurs activités de manière à acquérir des rentes de situation : le but est ici non pas de satisfaire les besoins des consommateurs mais bien de capter, par exemple, une partie des milliers de milliards de dollars dépensés chaque année par l’État américain. Ce qui conduit à dépenser beaucoup de ressources (humaines, financières, etc.) à chasser des rentes de situation plutôt qu’à développer des activités socialement utiles.

L'État ne poursuit pas des hommes d’affaires qui ont violé la loi car ces derniers sont aux commandes de sociétés renflouées par l’État qui ne désire pas que de telles inculpations débouchent sur la faillite de la société renflouée.

 

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https://www.contrepoints.org/2013/10/07/141698-france-bloquee-capitalisme-connivence

Le capitalisme de connivence est destructeur d’opportunités, de richesses, d’emplois et d’adhésion républicaine, comme l’a très bien montré l’émission Capital de M6 hier soir. Réaction à chaud.

Par Vincent Bénard.

Deux émissions de télévision sont venues cette semaine ajouter un peu plus à l’écœurement du simple citoyen que je suis, quand bien même je suis déniaisé depuis longtemps quant à la pourriture de notre classe politique.

Mercredi, c’est « Cash Investigation » qui montrait comment syndicats, patronats et partis politiques détournaient sans vergogne une grande part de l’argent de la formation professionnelle de son but initial.

Hier soir, c’est « Capital » qui s’est attaqué aux lobbys qui sclérosent la France. J’ai raté le début, mais la seconde moitié valait son pesant de vomissures.

Un exemple : un entrepreneur fonde dans le sud de la France un service de VTC (véhicules de tourisme avec chauffeur) low cost. La boite s’appelle EasyTake et semble connaître un franc succès au démarrage. Panique des taxis qui vont réussir à couler le concurrent… avec l’aide du ministère de l’intérieur qui va changer deux fois la loi, par peur d’une grève des taxis :

Une première fois pour imposer une longueur minimale des véhicules, de 10cm supérieure aux 4m40 choisis par Easytake. Celui-ci est obligé de renouveler sa flotte de véhicules. On peine à comprendre pourquoi un véhicule de 4m40 serait impropre au transport de passagers payants…

Comme l’intrus n’a pas renoncé, le lobbying des taxis fait, un peu plus tard, changer la puissance minimale du moteur obligatoire. EasyTake doit jeter l’éponge, ne pouvant pas renouveler deux fois en 6 mois sa flotte. Faillite, investisseurs ruinés, 20 chauffeurs à pôle emploi.

Il s’agit d’un « petit scandale ordinaire » du capitalisme socialisé, ou « capitalisme de connivence ». Un entrepreneur a été spolié, ruiné, par la complicité d’un syndicat de taxis puissant et de l’État.

Bien sûr, cet entrepreneur ne peut en aucun cas espérer obtenir une quelconque réparation du braquage, pardon, du préjudice subi, de la part de ceux qui ont manigancé sa perte. Le vol légal parfait. L’histoire ne dit pas si le ministre qui a cédé sous la menace des taxis n’a pas, en contrepartie de sa bonne composition, reçu quelque compensation. Je n’en serai pas outre mesure surpris. Mais qu’importe : aucun acteur de ce massacre législatif ne sera jamais inquiété.

Une boite qui offrait un service utile à un prix inférieur à celui de ses concurrents est morte. Ce n’est évidemment pas le drame du siècle. Mais on imagine sans peine que chaque année, plusieurs dizaines de petits nouveaux entrants qui tentent de bousculer tel ou tel lobby établi se font casser les reins.

Ce n’est pas qu’un problème économique. C’est le signe que notre État de droit est en train de mourir.

La dernière partie de l’émission a présenté quelques moyens par lesquels des lobbyistes professionnels, mandatés par tel ou tel groupe d’intérêt, faisaient passer auprès de l’assemblée des amendements favorables à leur point de vue. L’envers du décor, en quelque sorte. Un amendement sur deux serait en fait préparé par des officines spécialisées, qui fourniraient les députés en amendements prêts à voter.

Rappelons que tout ceci n’a rien à voir avec le libéralisme, car évidemment, il se trouvera toujours quelques gauchistes pour affirmer le contraire. Les libéraux sont pour la compétition. Pour que les modèles de business nouveaux et efficaces remplacent les anciens. Ils sont contre l’usage de la force réglementaire ou fiscale de l’État pour privilégier untel ou untel. Ce qui se passe en France n’a pas vraiment de nom labellisé. Oligarchisme, Kleptocratie, Capitalisme socialisé, de connivence… Quel que soit le nom qu’on lui donne, ce « modèle » d’organisation de société est destructeur d’opportunités, de richesses, d’emplois, et plus encore, d’adhésion républicaine.

Le ras-le-bol des français vis-à-vis de cette concussion permanente dont ils sont les cocus, et le réflexe manichéen des profiteurs de ces prébendes de faire accuser un libéralisme qui n’existe que dans leurs fantasmes, risque de jeter des masses d’honnêtes gens dans les bras de joueurs de pipeau extrémistes, qui se contenteront à leur tour de détourner la force coercitive de l’État au profit de leurs protégés. Et pour que les dénonciateurs se taisent, ils rogneront encore plus sur notre liberté d’exposer leurs turpitudes.

Le seul moyen d’en finir est de retirer à l’État le pouvoir d’accorder des privilèges. En 1905, nous séparions la religion de l’État. De la même façon, nous avons aujourd’hui besoin d’une grande loi de séparation du capitalisme et de l’État, voire d’une VIème république vraiment libérale.

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How Capitalism Shaped Education

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https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-tour-du-monde-des-idees/le-crony-capitalism-ou-les-nouveaux-visages-de-la-corruption-mondialisee-1403212

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Le terme "crony capitalism" ou capitalisme de connivence, désigne en anglais un système dans lequel des acteurs économiques parviennent

à nouer des liens privilégiés avec des décideurs politiques afin de s'assurer une rente de situation. Au détriment de la concurrence... comme de l’intérêt général.

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L’expression fait florès en anglais : crony capitalism ou capitalisme de copinage, de connivence. Elle désigne un système dans lequel certains acteurs économiques parviennent à nouer des liens étroits avec des décideurs politiques assez puissants pour leur assurer, sur leur marché, des rentes de situation. Ces connexions permettent de réaliser, à l’abri de l’état, et à son détriment, de substantiels profits. Et ceux-ci sont habituellement partagés avec les décideurs politiques en question, sous forme de pots-de-vin. Au détriment des concurrents comme de l’intérêt général. 

L’ancien ministre de l’économie turc Kemal Dervis rend compte, ce mois-ci, sur Project Syndicate, de trois livres portant sur le crony capitalism. Le premier, un ouvrage collectif dû à des économistes arabes, analyse le phénomène au Moyen-Orient. Ses auteurs cherchent en particulier à évaluer non seulement l’ampleur du phénomène, pays par pays, mais ses effets mesurables sur leurs performances économiques. Le second, dû à l’économiste suédois Anders Aslund, spécialiste des transitions, se penche sur le cas de la Russie. Il tente de décrypter le système politico-mafieux construit et exploité par Poutine en vingt ans de pouvoir. Minxin Pei, l’auteur du troisième, se penche sur le modèle chinois.

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Le capitalisme d’état serait-il plus corruptible ?

Kemal Dervis commence par définir les deux modèles de capitalisme qui, à ses yeux, peuvent définir les rôles respectifs de l’état dans le fonctionnement de l’économie. A savoir le capitalisme de marché et le capitalisme d’état. On dirait que personne ne sait plus à quoi pouvait bien ressembler le socialisme !

« Le _capitalisme de marché à l’occidentale__, écrit Dervis, est généralement défini comme un système dans lequel interagissent de nombreux acteurs économiques en concurrence entre eux sur des marchés décentralisés. Le_ rôle de l’Etat s’y limite, en théorie, à faire respecter les droits de propriété, à réguler les marchés, à y faire respecter la concurrence et à fournir les services publics, en les finançant par des taxes et des impôts. » 

Dans le capitalisme d’Etat, celui-ci oriente et dirige les investissements vers les activités qui lui semblent prioritaires. Il contrôle étroitement l’activité des sociétés privées, ou peut même les diriger directement, voire s'en rendre propriétaire. 

Evidemment, le risque du capitalisme de connivence est plus élevé dans le second cas que dans le premier. Plus le niveau d’intervention de l’Etat dans la vie économique est important, plus les occasions de s’enrichir grâce aux connexions nouées dans les hautes sphères sont nombreuses. 

Un capitalisme de marché plus vertueux en matière de copinage ?

Mais, poursuit Dervis, il n’y a aucune fatalité en ce domaine. Ainsi, la montée en puissance des « dragons » asiatiques – Singapour, Corée du Sud, Taïwan et Hong Kong s’est opérée sous la direction d’Etats qui se sont beaucoup investis dans la direction de l’économie. Et cependant, ils ont su rester à leur place.  La corruption a été très limitée.

Symétriquement, le capitalisme de marché n’est nullement à l’abri du copinage : l’attribution des marchés publics, en échange d’une petite commission, se rencontre dans bien des pays… 

Selon certains auteurs, le capitalisme de connivence est un phénomène courant dans les premiers stades de développement d’une économie. Aux Etats-Unis, les « barons voleurs » ont bâti leurs prodigieuses fortunes, au tournant des XIXe et XXe siècles en obtenant des états des privilèges, des régulations sur mesure ou des marchés réservés. 

Face à la corruption, quel contrôle démocratique exercer ?

Aujourd’hui, au Moyen-Orient, le phénomène est quasi-général. Mais notent les auteurs étudiés, les résultats sur les performances économiques varient selon les pays. La corruption plombe littéralement l’Egypte. Le capitalisme de copinage ne semble guère handicaper le Liban ou le Maroc. 

En Turquie, l’AKP, en arrivant au pouvoir, a favorisé les petits entrepreneurs, en les aidant à tailler des croupières aux grandes compagnies bien installées, parce que ces dernières étaient souvent politiquement liées à l’ancien pouvoir. Et dans un premier temps, cela a eu un effet positif sur la croissance. Mais depuis, dans plusieurs secteurs, comme la construction, ce copinage politique a eu pour effet de gonfler les prix.

Anders Aslun décrit les « quatre cercles » formés par Poutine, afin de consolider son pouvoir sur la Russie. Les trois premiers associent des dirigeants des dirigeants de l’appareil de sécurité et des oligarques fidèles au président. Leur sont concédés de juteux profits dans l’exploitation du gaz et du pétrole, en échange d’une complète allégeance politique – et des pots-de-vin. Le quatrième cercle, spécialisé dans le blanchiment et l’évasion fiscale, est basé à Londres et aux Etats-Unis…

Le système est très différent en Chine, où les dirigeants ne se considèrent pas comme les propriétaires du pays. Mais « la modernisation sous la direction du parti unique a produit une forme de capitalisme de copinage particulièrement rapace. » Les connexions entre dirigeants publics provinciaux et businessmen privés sont générales. 

Le flou qui entoure le droit de propriété, dans ce système qui se réclame du « communisme » autorisent toute sorte d’abus et de prévarication. Certes, Xi Jinping prétend lutter contre une corruption devenue endémique. Mais l’absence de démocratie, le fait que les dirigeants n’aient pas de comptes à rendre devant les électeurs, mais seulement devant leurs supérieurs hiérarchiques au sein de l’appareil du pouvoir, rend leur contrôle très difficile. 

Car, conclut Dervis, l’arme la plus efficace contre « le capitalisme de copinage », reste encore la démocratie. Là où la presse peut enquêter librement, où les juges ne sont pas empêchés par le pouvoir politique, les abus sont généralement mis en lumière et leurs auteurs punis. 

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NDLR :

Quelle est le problème au résultat de cette description ? Un système économique tronqué qui évoque le sujet de l'ouverture des marchés .... au nom des libertés .... et de l'égalité des chances pour réussir au sommet ! Mais tout cela est faux ! Il s'agit d'une atteinte gravissime des principes d'égalité des chances en matière économique ainsi que concernant la liberté d'entreprendre puisque les conditions d'accés sont subtilement restreintes de fait ou de droit. On peut encore se demander si ce capitalisme de connivence à lieu sur notre belle terre natale Française ? Absolument ! Je répond par l'affirmative si l'on se réfère aux nombreux témoignages vidéos, notamment par un certain Charles Gave, F Asselilneau, J Branco, etc .... .

On entend parler des marchés publics privilègiès, accordés à des comparses politiques, proches ou enfants des oligarques nationaux ou locaux.

J'ai notamment en mémoire les affaires concernant les méga bassines (  https://twitter.com/L_histoirien/status/1640774288037781512 ), les grandes compagnies de téléphonie qui bénéficient de contrats spécifiques, notamment un monopole au sein des institutions, le marché de l'électricité ou autres privatisation, revente à perte au bénéfice de sociétés privées, dont la privatisation ou les transactions ne sont que des prétextes pour l'enrichissement de partenaires privilégiés sur les deniers publics, certains marchés publics d'extansion d'autoroutes ( https://www.off-investigation.fr/autoroute-a69-un-renvoi-dascenseur-aux-financeurs-de-macron/ ), .... . OUI ! Le phénomène existe bien en France aussi !! Notre pays fait l'objet d'une récupération et d'un détournement des institutions par une oligarchie.

Dérive partout : Piston et compagnie ! ....

https://www.lexpress.fr/politique/jean-sarkozy-le-fils-qui-valait-des-milliards_794188.html

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VIDEOS

https://www.bing.com/videos/riverview/relatedvideo?&q=scandale+du+capitalisme+connivence+en+France&&mid=719EC175F4DE597BD68D719EC175F4DE597BD68D&&FORM=VRDGAR

https://youtu.be/EveWWX3fB2M

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Date de dernière mise à jour : 14/03/2024

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