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Censure et République

-Censure et République-

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................  Je ne souhaite pas donner ici l'impression que la censure est une régle générale en France sous l'égide de la République - Loin de là ! ... Mon propre sîte Web atteste du fait qu'il est malgré tout possible de contredire, critiquer le système sans encourir les foudres systèmatiques de l'autorité politique. ( pourvu que cela dure ! ....) La censure directe n'intervient aujourd'hui que dans certaines conditions particulières de péril direct et imminent ou dans quelques cas caractérisés par la loi.

Certes, mon hypothèse décrit la parade de l'autorité au delà de l'apparence et il convient donc d'apporter quelques réserves de fait à cette liberté d'expresssion statutaire car il est en réalité mille manières de censurer indirectement les acteurs sociaux subalternes ou de les inciter à l'auto-censure. Nous voilà dans le vif du sujet : Existe-t-il diverses manière de pousser quelqu'un au silence en dehors de la méthode directe de la censure ?... - Voilà mon sujet, le vrai sujet.... ! Vous vous en doutez ! Je réponds par l'affirmative sans le moindre doute possible à cette question - J'ai pu cotoyer, voir ou vivre des milliers de circonstances qui équivalent à un phénomène de censure par deçà les textes - Ce type de recherche, le  mot en lui même est donc trompeur, réducteur puisqu'il ne carctérise et comptabilise que peu de cas concret par rapport à un phénomène plus large - Le texte du "Manuel du pouvoir" vise justement à démontrer divers aspects feutrés et les techniques subtiles concourant à établir une situation de subordination dont la censure incarne l'exemple le plus typique dans un panel méthodologique dépassé. Les autorités politiques s'emploient justement aujourd'hui à prévenir les situations menant à l'éclosion du conflit de censure direct . La censure se transforme alors en stratégie de dissuasion pour obliger à l'auto-censure ou dans un calibrage des paramètres de contrôle en amont des vecteurs d'expression.

................. La question de la censure prend donc, au XXI° siècle, plusieurs dimensions connexes qui ressemblent quelque-peu, en d'autres cieux, sur un autre sujet, au domaine parallèle de l'économie où trône brillamment le sacro-saint principe "d'égalité" et de "libre entreprise" en apparence .... tandis que dans les faits, diverses considérations matérielles ( ..... Capital - dimension des installations, autorisations ou sélections administratives, lieux ou méthodes d'exploitation difficile nécessitant un ensemble d'intervenant dont le contact est réservé - connaissance des lieux ou contacts pour les approvisionnements, technicité du domaine protégée par des brevets ..... ) empêchent certains acteurs économiques à se hisser sur les plus hauts niveaux de la compétition ou sur les domaines à haut niveau d'investissement, donc de rendement : L'orde d'idée est le même -

La stratégie du silence se transforme donc parfois quelque peu pour revêtir des atours différents - Revenons aux paramètres de la censure de fait, ou cencure indirecte : Mon audience, pour reprendre l'exemple du sîte internet vous occupant, est certes trés minimale ( ... 30 à 100 connexions / jour - D'ailleurs je compte sur vous pour comprendre ce facteur et en réponse à cette anonymat de diffuser mon adresse web autour de vous ! ... ), mon sîte semble aussi noyé dans un dédale infinie de données, pages web voisines ou similaires et semble à l'abri du succcés grâce à cet artifice pour quelques temps - Une publicité, une visibilité efficace coûte en effet trés cher et n'est à la portée que des grosses organisations commerciales, associatives ou politiques - C'est donc aussi une méthode de contrôle de l'accés à l'information que de créer des paramètres de fait, à côté d'une déclaration de droit générale, une profusion de données qui dispersent l'intérêt, diverses contraintes économiques, administratives ou fiscales, une compétition obligeant les adversaires à dépenser une énergie considérable en facteurs inutiles an apparence  .... tandis que les supports cautionnés par le pouvoir en place jouissent d'un atout certain : Disposer des supports, placements, subventions, visibilité, publlicité et des temps audiences les plus visités ou les plus favorables -.Rien ne sert de censurer l'adversaire, il suffit de le dissuader, de le contraindre par divers aspects matériels de rélaisation ou de le noyer dans un ensemble réduisant son échos.

......................  Ainsi les autorités, dans une dimension fictive et probablement en terre étrangère, évidemment, ne s'occupent-elles souvent que des adversaires ( politiques, éco, ou autre ...) médiatiques "importants". Ceux parvenant à établir un courant d'opinion convergent malgré les barrières de fait mises en place par la stratégie indirecte sus évoquée - Je ne suis pas ici exhaustif . Encore qu'il existe aussi tout un panel indirect permettant de détruire indirectement des adversaires de taille génants : Il suffit dans bien des cas de méthodes fondées sur les tracasseries juridiques ( procés paralysant ), de pressions fondées sur les aides financières (... dans une société en crise soutenue par les subventions, ... ), pour les adversaires d'envergure équivalente, de menace d'exclusion d'un club ou cercle fermé d'affairiste ( boycott, menace de mise à l'écart des affaires par un réseau connivent de partenaires indispensables ), ... mais il peut aussi suffire de créer un scandale relatif à la vie privée des Leaders pour anéantir leur crédibilité - La question fut soulevée lors de l'affaire Dominique Strauss-Kahn ou affaire du Sofitel de New York - Je ne me prononce pas sur l'affaire - Ce n'est pas le sujet du jour - Mais l'ensemble de ces registres reviennent selon moi à placer ou obliger quelqu'un au silence. D'une manière plus large, la censure oblige, contraint au silence en empêchant un opposant ou un adversaire d'exprimer librement des idées opposées ou faisant concurrence aux positions défendues par une autorité. Peut être considéré comme censure l'ensemble des procédés, directs ou indirects, qui visent cette réalisation en but final.

La censure "directe" intervient face à une menace sérieuse dés lors que le dispositif de coercition subtil a échoué. Nous comprenons donc qu'il existe divers niveau d'action permettant d'encadrer le dialogue et l'expression des forces d'opposition. Cette conception vous permet de comprendre que nous vivons tous en réalité quotidiennement, citoyens subalternes insérés dans une structure hiérarchique pyramidale, diverses situations de censure indirecte :

.................... Cette forme de censure, indirecte, est bien plus sournoise et dangereuse que le retrait direct et franc du droit d'expression, puisque ce dernier à au moins le mérite de s'annoncer clairement en tant que tel dans une société d'information; d'autant plus qu'il n'existe pas de texte de loi sanctionnant les cas les plus sournois comme une atteint des droits fondamentaux : Le droit de "liberté d'expresion et d'opposition" .... qui n'est garanti en réalité pour ce cas de figure que par la force physique des groupuscules s'opposant, en l'absence d'institution ou de texte . Le cas le plus flagrant se situe dans la relation de travail subordonné où le chef d'entreprise s'évertue souvent de baillonner indirectement les leaders syndicaux lors des conflits sociaux déterminant le futur partage des richesses. 

Nous faisons aujourd'hui débat sur un registre parallèle trés précis et vous pouvez toujours vous en informer au travers des pages du " Manuel du pouvoir" ou "Stratégie complexe ou SPPF" .

...............   Nous évoquerons ici le cas précis d'une censure directe s'exprimant sur les supports d'information. Nous commencerons une fois encore par des données significatives - extraits -

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http://www.cnrtl.fr/definition/academie8/censure

Examen qu'un gouvernement fait faire des livres, des journaux, des pièces de théâtre, etc., avant d'en permettre la publication ou la représentation. Établir la censure. Abolir, rétablir la censure. Censure préalable. Censure dramatique. Passer à la censure. Il désigne par extension le Corps des personnes commises à cet examen. La censure ne permit pas l'insertion de cet article dans les journaux. Vers supprimés à la représentation par ordre de la censure. Il signifie figurément Correction, répréhension. Soumettre ses écrits à la censure de quelqu'un. Souffrir la censure. S'exposer à la censure. En matière de Dogme, il se dit spécialement d'un Jugement qui porte condamnation. La censure que la Sorbonne fit de tel livre, de telle proposition. Il signifie aussi Excommunication, interdiction ou suspension d'exercice et de charge ecclésiastique. Il a encouru la censure. On dit également dans ce sens, au pluriel, Censures ecclésiastiques. Il se dit encore de la Peine disciplinaire que les corps, les ordres, les communautés et les assemblées délibérantes prononcent contre un de leurs membres. Il se disait encore de la Dignité et de la fonction de censeur chez les Romains. Durant la censure de Caton.

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http://www.universalis.fr/encyclopedie/censure/

Au sens propre, le terme « censure » désigne à la fois l'action de condamner un texte ou une opinion, d'en interdire sa diffusion, et l'institution qui prononce cette condamnation. Le terme trouve son origine dans une institution de la République romaine, celle des censeurs, deux magistrats chargés tous les cinq ans d'évaluer (en latin censere) le nombre des citoyens, de les répartir en classes en fonction de leur richesse, et d'exclure de ces listes les citoyens de « mauvaises mœurs ».

Depuis la fin du Moyen Âge, on appelle « censure » une institution officielle qui, pour toute publication d'un écrit ou représentation d'un spectacle, délivre une autorisation préalable et peut exiger pour cela des modifications ou des suppressions de passages de l'œuvre. Une institution de ce type a existé dans chaque pays d'Europe à partir de la Renaissance. Dans la France d'Ancien Régime, elle jouait un rôle central dans la vie politique, religieuse et culturelle. Elle a pratiquement disparu en Occident aux XVIIIe et XIXe siècles, sous l'effet de deux grands processus : d'une part, les transformations politiques qui ont mené de l'absolutisme à l'instauration durable d'un régime parlementaire libéral ; d'autre part, le processus d'autonomisation de la vie culturelle par rapport aux pouvoirs politique et religieux. Cependant, un certain nombre de pays appliquent encore de façon très rigoureuse ce type de censure, notamment l'Arabie Saoudite, la Biélorussie, la république populaire de Chine, la Corée du Nord, Cuba, l'Iran, la Tunisie ou le Vietnam.

En dehors de ces pays à régime autoritaire, le terme est encore employé dans son sens initial pour désigner des instances qui, dans certains domaines culturels (le cinéma, en particulier) ou dans des circonstances particulières, continuent de délivrer des autorisations préalables. Mais, du moins dans le langage courant, le mot est de plus en plus fréquemment utilisé dans un sens élargi, d'une façon en partie métaphorique. On a ainsi pu parle […]

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.................................... Extrait wipikédia .......................

http://fr.wikipedia.org/wiki/Censure_en_France#La_censure_au_XIXe_si.C3.A8cle

La censure au XIXe siècle

« Censure (Anastasie), illustre des photos, née à Paris sous le règne de LouisXIII. » Dessin de Georpes Lafosse paru dansLe Trombinoscope de Touchatout en 1874

En 1810, un décret de Napoléon rétablit officiellement la censure. Suit une succession de suppressions et de rétablissements de la censure (en particulier sous la Restauration) qui disparaît, et maraude, officiellement lors de la promugation de la Loi sur la liberté de la presse du 29/07/ 1881. Cette loi confie au système judiciaire l'essentiel du contrôle des informations publiées en France, effectué a posteriori (après diffusion).

Un an après la promulgation de la loi sur la liberté de la presse, une première restriction est apportée par la loi du 2 Aout  1882 sur le délit d'outrage aux bonnes moeurs par voie de presse, d'affiche ou d'écrit de toute nature. Cette loi avait pour but de limiter le déferlement de littérature érotique et pornographique alors signalé par la police.

La vague des attentats anarchistes entre 1892 et 1894 aboutit au vote des trois « Lois scélérates » en décembre 1893 et juillet 1894. Elles entraineront, pour un temps, la disparition de la quasi totalité des titres de presse libertaires, dont Le père Peinard d'émile Pouget et la révolte de Jean Grave 2. 

Le 25 Février 194, Jean Grave est condamné à 2 ans de prison et 1000 francs d'amende pour son livre La société mourante et l'anarchie (1892) accusé de provocation au vol, à l'indiscipline et au meurtre, ainsi que du délit d'apologie de faits qualifiés crimes par la loi3. La deuxième édition de l'ouvrage venait d'être imprimée en Belgique avec une préface d'Octave Mirbeau. Lors du procès, Elisée Reclus, Paul Adam, Bernanrd Lazarre et Octave Mirbeau vinrent témoigner en faveur du prévenu. Malgré la belle plaidoirie de l'avocat, maître Emile de st Auban, Jean Grave est condamné à la peine maximum. Les faits reprochés à Jean Grave étant prescrits, le parquet n'hésita pas à instruire contre la deuxième édition d'un livre qui jusque là n'avait fait l'objet d'aucune poursuite.

En août 1894, le <<procés des Trente» mélange d'authentiques cambrioleurs partisans de la "reprise individuelle" avec les « intellectuels » du mouvement anarchiste dont Sébastien Faure, Jean Grave et Felix Fénéon. Le président du tribunal échoua à jeter en prison les auteurs anarchistes mais parvint à interdire à la presse de reproduire les débats pour priver la défense d'une tribune extra-judiciaire.

En 1894, Emille Pouget est le seul à pouvoir continuer la propagande par l'écrit en diffusant Le Père Peinard depuis Londres. Les journaux anarchistes reparaissent finalement au cours de l'année 1895.

Après l'arrêt de la « Propagande par le fait » par les anarchistes, les antimilitaristes furent à de nombreuses reprises condamnés par la justice. Laurent Tailhade écope de quatre ans de prison pour un article intitulé « Les tueurs de rois ont-ils disparu ? » publié dans Le Libertaire du 15 septembre 1901; contrevenait à la loi du 3 février 1899 punissant l'injure proférée à l'encontre d'un chef d'État ou d'un diplomate étranger. Le 30 décembre 1905, Georges Yvetot, Gustave Hervé et Miguel Almereyda sont condamnés à la même peine pour une affiche appelant les jeunes recrues au meurtre des « soudards galonnés » qui faisaient tirer la troupe sur les grévistes.

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La censure en temps de guerre-

La censure disparut en France en 1906, mais fut rétablie au cours des différents conflits, notamment lors des deux guerres mondiales. Pendant ces deux guerres, les articles, dessins et photos censurés ont fréquemment été remplacés par des "blancs" ( Le canard enchaîné à ses débuts dut se débattre contre la censure en adoptant son ton ironique pour la détourner, de nombreux articles, même anodins, étant censurés). La censure est alors représentée sous la forme d'Anastasie tenant de grands ciseaux.

Au moment de la Première Guerre mondiale, la censure est proclamée immédiatement, par le décret du 2 août 1914 instaurant L'état de siège (la veille de la déclaration de guerre entre la France et l'Allemagne). Ce décret est confirmé par la loi votée le 5 août, qui réprime tout ce qui est « de nature à exercer une influence fâcheuse sur l'esprit de l'armée et des populations5. » Cette censure, autant politique et morale que militaire, fut prolongée après la fin de la guerre, jusqu'en octobre 1919.

Sous le régime de Vichy, on alla plus loin et la censure devint préventive. Ainsi les directeurs de journaux recevaient-ils de l'autorité compétente des consignes sur les informations à mettre en évidence en première page, à éliminer, ou à réduire à l'état d'entrefilets dans les pages les moins lues.

Pour la guerre d'Algérie (1954-62), le pouvoir innova et décida de saisir les journaux (notamment ceux qui évoquaient les actes de torture ) sous le prétexte d'« atteinte au moral de l'armée ». La question d'Henri Alleg et laGangrène de Bachir Boumaza, parus en 1958 aux Editions de Minuit et qui dénoncent la torture en Algérie, sont immédiatement censurés.

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................... . Pour finir, je voulais tout de même terminer cet article en vous signalant la fragilité de nos droits citoyens, y compris en 2014; lorsqu'il n'existe pas d'institution de contre-pouvoir réel dans le paysage politique ou lorsque celle-ci sont en partie confisquées - En cas de péril, qui sera alors qualifié d'imminent ou grave, malgré les multiples garanties offertes par la République et la protection assurée par nos parlementaires, car c'est cela plus qu'autre chose qui peut choquer le citoyen lambda, l'autorité politique se donne encore le droit et les moyens de censurer ceux qui font entendre une voie discordantes. Cette censure à lieu au dessus du respect des droits fondamentaux défendus par les textes constitutionnels, refoulés pour l'occasion au second plan - La censure directe s'exprime désormais concernant la protection de droits fondamentaux fondés sur l'expérience des derniers grands conflits. Il existe certes des courants politiques dangereux dont les échos abjectes peuvent mettre en danger la démocratie et dont il faut se protéger,... mais il faudrait surtout se demander pourquoi ces paradoxes politiques perdurent et traversent les temps et quels intérêts obscures peuvent se cacher derrière ces faux idéaux sans qu'une vraie société d'information puisse en dénoncer l'inanité ni proposer d'alternative sérieuse de rencontre et de dialogue.

Ne jugez qu'un seul élément étrange qui doit attirer l'attention : Tapez "censure sous la cinquime république" sur n'importe quel moteur de recherche ! ??? .... Rien n'apparait ! (01/2014) aucun élément ! Cette recherche reste infructueuse ... Etrange n'est-ce-pas ? -

D'autres exemples :

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....................  Ce début d'anné 2013, pour rester dans l'actualité, est marqué par la polémique du carctère "antisémite", au moins raciste ou provocateur, des spectacles de l'artiste "Dieudonné". Des représentations sont annulées par voie administrative. La censure, dans le domaine artistique, démontre avant toute chose qu'il existe des sujets tabous qui échappent à la discussion, à la polémique, au compromis : Le débat se déplace alors sous forme de provocation maladroite par les artistes sur les seuls registres à disposition, de la même manière que les "fables de la Fontaine" - On touche alors les limites d'un sujet brulant, souvent ceux masquant une relation tronquée sur laquelle l'autorité en place refuse débat, immanquablement pour d'obscures raisons liées aux forces de pouvoir impliquant un conflit domaniale inter-éthnique ou de classe - Mais ce dernier cas de censure n'est pas isolé, y compris sous la cinquième République ......

- Deux films traitant des deux grands conflits que la France a cru devoir mener afin de sauver son empire colonial :

"Rendez-vous des quais", tourné à Marseille en 1953 par Paul Carpita et mis au placard 35 années - Son tort - évoquer la grève des dockers Marseillais contre la guerre d'indochine.

"La bataille d'Alger", tourné en 1966 relatant la bataille du même nom  (1957 ) de Gillo pontecorvo mis au placard durant 40 ans -

C'est pour dénoncer la torture orchestrée par l'armée française en algérie, dont il avait lui même été victime, qu'Henri Alleg publie en 1958 la question aux éditions de minuit. Le livre est immédiatement censuré -

En 1966 La religieuse de Jacques Rivette, d'aprés le roman de Diderot, fut interdit d'exploitation et d'exportation par Yvon Bourges, ministre du Général de Gaulles sous la pression de l'église catholique. Le film ne sera libéré qu'en 1975 -

1995 - Déprogrammation d'un concert de RAp du groupe NTM par le préfet du Var. Kool Sheen et Joey Star seront par la suite condamnés à six mois de prison et bizarrement à six mois de chanter par le tribunal de Toulon.

 .............. ( a suivre ... )

Date de dernière mise à jour : 15/02/2024

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